17 Locations mémorables : quand les propriétaires ont rendu la vie des locataires inoubliable

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Il y a 1 heure
17 Locations mémorables : quand les propriétaires ont rendu la vie des locataires inoubliable

Heureux sont ceux qui n’ont jamais croisé de propriétaires bizarres, voire franchement incohérents. On loue un appartement, et les problèmes s’accumulent sans fin. Nous avons réuni une série de récits de personnes qui voulaient simplement vivre en paix dans un logement loué, mais se sont retrouvées dans une véritable galère.

  • Un jour, j’ai décidé de faire une surprise romantique à mon copain : dîner aux chandelles, le grand jeu. J’ai loué un appartement à la nuitée, histoire d’avoir un cadre joli, sans nos affreux papiers peints. Je suis arrivée en avance, j’ai tout nettoyé, tout préparé, acheté une robe, et même éparpillé des roses sur le lit, comme au cinéma. Je l’attends. Et là, on sonne à la porte. J’ouvre... et je tombe sur une petite mamie en peignoir, avec son cabas ! Elle me dit : “Mais vous êtes qui, vous ? C’est chez moi, ici !” J’en suis restée bouche bée ! Il s’est avéré que le propriétaire qui m’avait loué l’appartement était son fils. Il le louait à la nuitée sans rien dire à sa mère, pendant qu’elle vivait dans sa maison de campagne. On l’appelle, pas de réponse. Alors imaginez la scène : moi en robe, les bougies, les roses, le dîner... et au milieu de tout ça, la mamie qui lance : “Puisque vous êtes là, au moins, dînons ensemble !” Au final, on s’est retrouvés à trois, avec elle et mon copain, à manger ses petits plats. Mon copain a dit plus tard que c’était “le dîner le plus insolite de sa vie” ! La mamie, au passage, s’est révélée être une personne géniale. © Ne vse poimut / VK
  • En décembre, j’ai emménagé dans un nouvel appartement. L’endroit était super, mais il y avait un gros problème : pas d’eau chaude. J’en ai parlé à la propriétaire, elle m’a promis que ça arriverait, mais à la mi-janvier, toujours rien. En quatre mois, je me suis habitué à faire chauffer de l’eau dans des casseroles et à me laver en me versant de l’eau avec une bassine. Maintenant qu’il fait plus doux, je prends des douches froides depuis une semaine, histoire de m’endurcir et de renforcer ma santé. Hier, la propriétaire est passée et m’a annoncé la grande nouvelle : “Valérie, l’eau chaude devrait bientôt arriver !”. Merci, c’est exactement ce dont j’avais besoin... maintenant..." © Ne vse poimut / VK
  • Je travaillais dans une grande entreprise qui avait loué un immense hôtel particulier en centre-ville. Mais le gérant, mandaté par le propriétaire, venait souvent avec des réclamations absurdes. L’apothéose a été l’histoire du siège de toilettes cassé. Ce génie l’a rapporté au directeur général. En le tenant avec une feuille A4 comme s’il s’agissait d’une pièce à conviction. Nous n’y sommes pas restés bien longtemps après ça. Je suis repassé deux ans plus tard, et l’immeuble était toujours vide, sans locataires. Le prix à payer ? Le coût d’un simple siège de toilettes. © Oleg Vladimirovitch / Dzen
  • Après ma rupture avec mon premier copain, il a fallu que je trouve un nouveau logement en urgence. À l’époque, les sites d’annonces n’étaient pas vraiment au point, alors j’ai fouillé les petites annonces du journal. C’est comme ça que je suis tombée sur la perle rare. Enfin, “perle”... il faut le dire avec beaucoup de guillemets. L’annonce parlait d’une “mamie adorable” qui cherchait une jeune fille sérieuse, sans animaux, pour une chambre à un loyer très modique. Pour moi, à ce moment-là, c’était déjà un budget serré. La réalité a été un choc. La fameuse chambre était en fait un canapé dans la cuisine. La dame économisait sur tout : pas d’eau gaspillée, lumière éteinte en permanence, et surtout, interdiction d’allumer mon ordinateur portable sous peine de “faire exploser la facture”. Mais le summum a été lorsqu’elle s’est mise à râler, après mon emménagement, parce que je ne lui préparais pas son petit-déjeuner. Selon elle, la locataire d’avant se levait tôt pour lui faire ses céréales, et lui cuisinait aussi le dîner le soir. Je n’ai même pas tenu une semaine. Quand je lui ai annoncé mon départ, elle a même proposé de diviser le loyer par deux pour que je reste. © Unknown author / Pikabu
  • Je loue un appartement. La propriétaire est assez étrange : elle m’a demandé, si quelqu’un posait des questions, de dire que j’étais sa nièce et non une locataire. J’ai dit d’accord. Récemment, j’ai eu une panne d’électricité qui a duré toute la journée, alors que ça n’arrive jamais d’habitude. J’ai remarqué que dans tout l’immeuble, seule mon appartement était plongé dans le noir. J’ai appelé la propriétaire, elle a fait venir des électriciens, et il s’est avéré que mon compteur avait simplement été déconnecté au niveau du tableau général. Et justement, ce jour-là, j’avais vu mon voisin fouiller du côté des fils électriques dans le hall. © Ne vse poimut / VK
  • Mon pire propriétaire, avait une règle pour le moins singulière : il était interdit de toucher aux murs. Pas seulement d’y accrocher des cadres ou des décorations, mais tout devait en être éloigné d’au moins trois centimètres — meubles, lits, absolument tout. On avait l’impression de surveiller les lieux plus que d’y habiter. © cheese_tastey / Reddit
  • Nous vivons en location. L’une des conditions les plus strictes du propriétaire est l’interdiction absolue d’avoir des animaux. Notre fils de cinq ans rêvait pourtant tellement d’un petit chien. Après de longues négociations, l’enfant a finalement accepté l’idée d’un hamster. C’était assez drôle quand il a décidé de l’appeler Rex, et encore plus lorsqu’il a réussi à lui apprendre à rapporter une petite balle — nous en sommes restés complètement stupéfaits. © Ne vse poimut / VK
  • J’ai intégré la cité universitaire en parfait solitaire, sans le soutien de ma famille. Une vraie plongée dans le grand bain de la vie étudiante. Pour le coup, les débuts ont été compliqués. Certes, ma chambre n’était partagée qu’avec une seule personne (un vrai plus), mais elle était dépourvue... de toilettes. Sans budget pour y remédier et sans en parler à mes parents, je me suis débrouillé comme j’ai pu pendant près de deux mois — la douche était aussi absente à l’appel. Je prenais mes ablutions chez des camarades de promo ou chez ma sœur, qui logeait à l’autre bout de la ville. Heureusement, j’ai pu changer de chambre en moins de deux mois. Mon colocataire de l’époque, lui, est resté sur place. Enfin, il y dormait seulement deux ou trois nuits par semaine, et y entreposait ses affaires. © radoo / Pikabu
  • Nous avions enfin réussi à trouver un appartement à louer. Tout semblait aller bien, mais deux semaines plus tard, nous avons découvert des “invités non désirés”. Nous avons immédiatement contacté la propriétaire pour régler le problème. Sa réponse a été que c’était trop cher et que si nous le voulions, c’était à nous de payer. Sans hésiter, nous avons déménagé deux jours plus tard. Et en plus, elle ne voulait même pas nous rendre le reste du loyer ni la caution, bien que le contrat stipulait clairement qu’elle n’avait pas le droit de les garder. En revanche, dans l’appartement où nous avons atterri ensuite, nous avons eu des propriétaires tout à fait raisonnables. Le moindre problème était réglé immédiatement, et ce qui devait être remplacé l’était. Et récemment, nous avons emménagé dans notre propre appartement. Ces propriétaires-là nous ont non seulement remboursé les jours non occupés, mais ils ont même ajouté un petit bonus pour notre emménagement. © lutseferiya / Pikabu
  • Neuf mois après avoir quitté l’appartement que je louais, la propriétaire m’a appelé pour m’annoncer que le nouveau locataire, qui vivait là depuis déjà six mois, avait signalé une fissure dans l’évier, affirmant qu’elle ne venait certainement pas de lui. Et que, par conséquent, c’était forcément nous. Mais ce brave locataire avait pris les devants et réparé la fissure, et il demandait maintenant à la propriétaire de rembourser les frais de réparation. Elle, de son côté, m’appelait pour que je participe au moins à moitié à cette somme. Le détail crucial, bien sûr, c’est qu’au moment de notre départ, il n’y avait absolument aucune fissure dans l’évier — elle avait tout vérifié lors de l’état des lieux de sortie. Et il est même fort possible qu’au moment de son appel, il n’y en ait toujours pas eu, et que ce type ait simplement tenté d’escroquer cette dame âgée. © PerfectLawyer / Pikabu
  • Je cherchais un appartement à louer. J’achetais les journaux, j’appelais les annonces. L’une d’elles a retenu mon attention. Un studio en centre-ville, la surface indiquée était un peu plus petite que la moyenne, mais le prix était vraiment attractif. Il devait y avoir une arnaque. J’appelle. On me confirme : oui, en centre-ville (il a cité une rue, à cent mètres de la place principale), un studio. Je demande : pourquoi le loyer est si bas ? On me répond qu’il était auparavant loué comme bureau, mais qu’il peut servir de logement. Un lit sera fourni, mais pour le reste du mobilier, c’est très sommaire. Il y a une cuisine. Méfiant, après de mauvaises expériences, je demande : y a-t-il une salle de bains, des toilettes ? On me dit qu’il y a des toilettes, mais ni baignoire ni douche. J’étais sidéré. Je demande : mais alors, comment se laver ? La réponse fut : va à la piscine municipale, il y en a une juste à côté. © radoo / Pikabu
  • Nous avions cherché un appartement à louer avec mon copain pendant longtemps, et nous avions enfin trouvé une option qui semblait convenir. Nous sommes allés le visiter. Tout nous plaisait, et c’est alors que la propriétaire nous a demandé de quelle race était notre chat. Perplexes, nous avons répondu que nous n’avions aucun animal, et nous avons vu une profonde déception dans son regard. Il s’est avéré qu’elle ne louait son appartement qu’à des personnes ayant un chat, car elle les adorait. Nous étions déçus, et elle nous a alors expliqué que sa chatte venait justement d’avoir une portée et qu’elle pourrait nous en donner un, si nous en avions vraiment envie. Nous envisagions d’adopter un animal depuis un moment, et voilà que l’occasion se présentait. Bien sûr, nous avons accepté ! © Ne vse poimut / VK
  • Nous louions un appartement pour une somme conséquente. Lors de la signature du contrat, nous avions convenu que nous vivrions avec nos chats, et nous avions versé une caution en conséquence ; tout le monde était d’accord et satisfait. Nous avions aussi accepté l’appartement “en l’état”, avec ses ampoules grillées, son sèche-serviette qui fuyait, ses carreaux de salle de bains décollés, sa porte sans serrure et ses rideaux qui tombaient. On nous a promis de réparer tout ça. Au final, un an plus tard, le loyer a été augmenté d’une somme significative, soi-disant à cause des chats, rien n’avait été réparé, et en partant, on nous a facturé un supplément important pour un “nettoyage approfondi après vos chats et les traces sur les murs”, en retenant à la fois la caution et le trop-perçu du dernier mois, et en nous forçant à signer une reconnaissance de dette pour le solde. Aujourd’hui, nous louons un appartement plus confortable, quoiqu’un peu plus modestement meublé, pour un loyer bien inférieur. © Gamer.Hikka / Pikabu
  • Dans mon dernier logement en location, j’ai abordé à plusieurs reprises avec la propriétaire l’idée de remplacer les fenêtres par du double vitrage et de remplacer le papier peint par quelque chose de plus durable — bien entendu, en déduisant le coût du loyer. Elle a toujours refusé. Nous avons finalement mis un peu d’argent de côté, et une bonne opportunité s’est présentée pour acheter notre propre appartement avec un prêt immobilier. J’ai donc annoncé à la propriétaire que nous allions quitter les lieux. Sa réponse a été : “Tant mieux, je pourrai vendre celui-ci l’esprit tranquille”. Le jour de l’état des lieux, elle débarque et s’exclame : “Oh ! Mais où sont les nouvelles fenêtres ? Et pourquoi le papier peint n’a pas été refait ?” Je lui ai répondu : “Nous n’avions pas convenu que ce serait déduit du loyer.” Elle a rétorqué : “J’ai cru que, puisque j’avais refusé, vous le feriez à vos frais.” © Priestone / Pikabu
  • Nous avions trouvé un appartement à louer à un prix très correct. La propriétaire nous avait autorisés à emménager dans la nuit du samedi au dimanche, et nous devions signer le contrat le lundi matin — c’était aussi à ce moment-là que nous avions prévu de déménager toutes nos affaires. Nous étions assis avec mon mari, en train de regarder un film, quand soudain le téléphone a sonné : " Vous regardez la télévision beaucoup trop fort, et pourquoi avez-vous rempli la baignoire ? " Il s’est avéré que c’était la voisine de l’appartement d’à côté. Nous avons réfléchi et avons conclu que nous n’avions vraiment pas besoin de ce genre de voisinage. Nous lui avons laissé l’équivalent du prix d’une nuit d’hôtel et avons décampé.
  • Je louais un tout nouvel appartement, entièrement équipé. Le propriétaire, un homme qui semblait sérieux, avait promis de passer faire un contrôle tous les trois mois, mais pendant trois ans, nous n’avons pas eu la moindre nouvelle de lui. Nous payions le loyer très régulièrement, aucun problème. Et soudain, il a appelé. Nous étions un peu inquiets. Et là, il nous lance : " Vous pouvez me rappeler mon adresse ? Je remplis des papiers ici. J’ai complètement oublié l’adresse. Vraiment. " © bazzilevs2024
  • Durant mes études, j’ai également eu la “chance” de vivre chez une propriétaire pour le moins particulière. C’était l’été, en plein stage, toute la journée dehors sous la chaleur et la poussière. En rentrant, une douche s’imposait, mais le chauffe-eau à gaz ne s’allumait pas et la propriétaire n’était jamais là — toujours en train de sortir. Je me disais : c’est la pression d’eau qui est trop faible, et je me lavais à l’eau froide — ainsi pendant plusieurs jours. Une fois, on m’a libérée plus tôt du stage, j’ouvre le robinet : la pression est excellente, mais le chauffe-eau ne veut toujours pas démarrer. C’est là que j’ai compris : le gaz était coupé. Le robinet était placé en hauteur, près du plafond. J’ai grimpé, je l’ai ouvert, je me suis lavée, puis je l’ai refermé. La propriétaire a dû comprendre que j’avais découvert son petit manège, et quelques jours plus tard, elle m’a tout simplement mise à la porte, sous prétexte que je ne lui convenais pas. Mon caractère n’est, il est vrai, “pas terrible” — je ne suis pas très sociable. © Liubov / Dzen

Un locataire tranquille, ordonné et ponctuel dans ses paiements, associé à un propriétaire honnête, forment un tandem idéal. Mais la réalité est parfois différente, et l’on peut alors croiser des propriétaires ou des locataires aux habitudes et au comportement, pour le moins surprenants.

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