20 Phrases farfelues de patients après l’anesthésie qui te feront pleurer de rire
L’anesthésie est une superbe invention : non seulement elle soulage la douleur, mais souvent, elle est aussi à l’origine de situations comiques hilarantes, là où, normalement, il n’y a rien de drôle. Les patients qui se réveillent après l’anesthésie sont dans un état euphorique, et parfois sous l’emprise de fantasmes exotiques et de désirs étranges, comme, par exemple, épouser un ananas. Autant de supers histoires à raconter aux enfants plus tard !
Chez Sympa, nous ne te souhaitons pas de rencontrer des anesthésistes et des chirurgiens sur leur lieu de travail, mais te proposons plutôt d’observer la médecine sous son aspect amusant.
- Après l’opération, pendant le transfert dans la chambre, le couloir n’était pas plat, mais légèrement incliné par endroits, et au moment de la descente je criais : “Ouiiiiiiii ! Encore une !!!” © Wilfred87 / Pikabu
- En ouvrant les yeux après une intervention gynécologique, j’ai demandé au chirurgien (un beau jeune homme) : “Est-ce que ta mère sait ce que tu fais comme travail ?”, après quoi, j’ai perdu connaissance. © Мартина / AdMe.ru
- En ouvrant les yeux, j’ai vu un infirmier et lui ai demandé : “Es-tu mon mari ? Rentrons à la maison !” Mon mari, qui se tenait à ce moment-là derrière le rideau, croit encore que j’ai voulu l’échanger contre un autre homme. © Vika Chen-Moity / Facebook
- On m’a raconté qu’après l’opération, j’ai réussi à profiter d’un moment pour me lever et avec ma blouse comme seul vêtement, qui couvrait à peine mon corps, j’ai ouvert la porte et j’étais sur le point de partir. On m’a rattrapée et demandé : “Où vas-tu ?” Je leur ai répondu : “Je dois y aller !” “Mais où veux-tu aller ?”, insistaient-ils. J’ai réfléchi un instant et j’ai répondu alors : “Je ne sais pas où, mais je dois y aller !” “Aux toilettes ?”, cherchait-on à comprendre. “Non”, répondais-je. “Mais où alors ?” J’ai dit, grimaçant de douleur avec une voix cassée : “Je ne sais pas où, mais je le dois.” Finalement, ils m’ont mise sur le brancard et m’ont transportée dans ma chambre. © Гаухар Каирбекова / AdMe.ru
- Mon anesthésiste était jeune, très beau et très gentil. Quand le produit a commencé à agir, je lui ai dit qu’en principe, ses patientes n’avaient même pas besoin d’anesthésie, car sa beauté était largement suffisante pour se sentir bien. Et lorsque je me suis réveillée, j’ai exigé mon sac à main immédiatement afin de distribuer une récompense à chaque personne présente. © Диана Владиславовна / Facebook
- J’étais en première année de fac et je me suis cassé la clavicule. À l’hôpital, on devait me mettre une broche. Après l’anesthésie, j’ai dit à l’infirmière du service que je l’aimais. Cependant, pas comme une femme, mais d’un amour que l’on porte à sa mère patrie. © bylovein / Pikabu
- J’ai eu une anesthésiste incroyablement gentille et rassurante pendant mon opération (je tremblais beaucoup car c’était ma première opération sous anesthésie générale). En insérant le cathéter dans ma veine, elle a dit : “Regarde, on a choisi un beau rose pour toi, alors que les autres ont eu des gris tout tristes.” Pour une raison qui m’est inconnue, c’est exactement cela qui m’a calmée. Je commençais déjà à devenir toute légère et avec le petit bout de conscience qui me restait encore, j’ai remarqué que l’on m’enfilait quelque chose de gris et triste. Le chirurgien est venu, et lui aussi, il avait une blouse grise. Je suis certaine de m’être endormie ensuite. Mais à mon réveil après l’opération, l’anesthésiste m’a raconté que malgré ma capacité limitée de mener une discussion, j’avais exigé que tout soit rose, tout, absolument tout, et que le chirurgien se change en rose lui aussi. Le chirurgien, qui était un monsieur très imposant et costaud, a été surpris, il a dit qu’il en avait vu et entendu des choses étranges pendant ses années de travail, mais que personne n’avait jamais cherché à l’habiller en rose. © Anastomus / AdMe.ru
- Une voisine de chambre à l’hôpital m’a raconté que lorsqu’elle avait ouvert les yeux et vu deux jolies filles en blanc (les infirmières), elle avait décidé que c’était des anges et elle était très heureuse de se retrouver au paradis. Elle a demandé : “Où est Dieu ?” Et a eu comme réponse : “En réunion !” © Оксана Никитина / AdMe.ru
- J’ai demandé à l’infirmier de me vendre un oreiller d’hôpital, puis j’ai pleuré parce qu’il y avait des gens tellement gentils dans la salle d’opération et que c’était dommage de ne plus les revoir. Aussi, j’ai essayé de serrer les membres du personnel soignant dans mes bras. © Зоркий Астигматик / AdMe.ru
- Mon voisin de chambre était un bodybuilder typique, 120 kilos de masse musculaire. Son apparence aurait pu effrayer même un rhinocéros enragé. Lorsqu’on l’a sorti de la salle d’opération, il pleurait dans son sommeil en chantant : “Oh oh tiens, voilà quelqu’un, Petit Ours Brun ! Coucou c’est toi, mon copain, Petit Ours brun.....” Entendre cela de la bouche de Terminator était très inattendu. © Aspectum / Pikabu
- Je suis une femme et je travaille comme anesthésiste. Je me souviens d’une patiente qui, après l’anesthésie, a trouvé chez moi une forte ressemblance avec son mari, elle me caressait la main en disant : “Guillaume, chéri, je t’aime tellement, merci d’avoir été là pour moi pendant tout ce temps.” © София / AdMe.ru
- Notre patient s’est réveillé après l’extraction d’une dent de sagesse et a supplié le médecin de lui permettre de devenir David Bowie. Le médecin lui a demandé : “Et de quoi cela aura l’air ?” Le patient a répondu : “Cela aura l’air fantastique !” © Unknown user / Reddit
- Après l’anesthésie, je me promenais dans un état de bonheur absolu au milieu d’un champ de nuages duveteux roses, parsemés de petites marguerites jaunes. Tout autour de moi, il y avait plein de nuages pareils, accrochés à une corde à linge avec des pinces et qui se chevauchaient par endroits. Derrière ces nuages, quelqu’un m’appelait par mon prénom, doucement, mais avec insistance, et j’écartais encore et encore ces nuages duveteux, doux, chauds, mais denses, en cherchant la sortie, car de l’autre côté, mon bébé, que je venais de mettre au monde, m’attendait. © Елена Терновская / Facebook
- Après l’anesthésie, mon cousin a demandé un ananas en mariage ! Il n’y avait même pas d’ananas dans les parrages... © JMUDoc / YouTube
- Je me suis réveillé après l’anesthésie, j’ai regardé autour de moi et commencé à crier : “Qu’est-ce que vous foutez ici ?! Il y a une opération en cours ! Tout le monde dehors !” © grafprishvin / Pikabu
- J’avais 17 ans quand j’ai été opérée pour une crise d’appendicite aiguë. Après l’opération, les brancardiers me transféraient dans ma chambre dans un ascenseur. Encore dans les vapes, je leur ai dit : “Je suis une princesse !” Les brancardiers ont rigolé et m’ont demandé alors qui ils étaient, eux. “Et vous, vous êtes des chevaux !” Par la suite, le personnel et les infirmières me taquinaient souvent à ce propos. © meolya / Pikabu
- Mon mari m’a demandée en mariage trois jours après notre rencontre. Un mois plus tard, nous nous sommes mariés, mais franchement, je ne me pensais pas follement amoureuse de lui. Je m’étais juste dit que je ne risquais rien. Trois mois environ après notre mariage, j’ai été opérée sous anesthésie générale. Je suis arrivée à l’hôpital en taxi, car mon mari était au travail. Après cette opération pratiquée en urgence, il est venu me voir avec un énorme bouquet ! L’hôpital l’avait appelé pour lui dire : “Maxou, votre femme se remet de l’anesthésie.” Le fait était que pendant le transfert depuis la salle d’opération, je n’ai pas arrêté de crier : “Maxou chéri, je t’aime !” Apparemment, personne ne l’avait jamais appelé ainsi. Cela fait dix ans que nous sommes ensemble ! Je l’aime tellement ! © Тина Бригантиновна / AdMe.ru
Est-ce que toi ou tes proches avez des histoires “hospitalières” amusantes à nous raconter ? N’hésite pas à les partager avec nous dans les commentaires.