20 Preuves que dans chaque travail, il arrive des situations totalement absurdes

C’est curieux
Il y a 4 ans

Au travail, les situations gênantes arrivent assez souvent. Chacun d’entre nous s’est déjà disputé avec un collègue, a rougi ou a perdu ses moyens devant son patron. D’ailleurs, les situations bizarres peuvent se passer non seulement du côté des employés d’une compagnie, mais aussi de celui du client, et il arrive que les gens aient un comportement complètement imprévisible qui dépasse même les bornes. Bref, les diverses histoires d’internautes prouvent bien que les choses étranges peuvent survenir dans n’importe quel travail.

Chez Sympa, nous sommes certains que les situations décrites pas les héros de notre sélection peuvent devenir des blagues à part entière.

  • Ce matin, une jeune fille m’a contacté. Elle a une entreprise saisonnière, et il fallait renouveler le design de son site internet. Nous avons discuté des détails. En gros, voici notre conversation :
    Moi : " Je transmettrai cette commande à notre designer, le travail coûtera telle somme. Si vous êtes prête, nous pouvons commencer notre collaboration “.
    La cliente : ” À vrai dire, le prix ne me convient pas. Une autre compagnie a accepté de réaliser ce projet pour moins cher “.
    Moi : ” Je comprends. Nous vous souhaitons alors bonne chance “.
    Six heures plus tard.
    La cliente : ” Eh donc, avez-vous déjà commencé le travail ? Je vous ai déjà envoyé les termes de références, non ? " © Dovee / pikabu

  • Je travaillais comme comptable, je versais les salaires. Le chauffeur du directeur est venu me voir :
    — De l’argent a disparu de ma carte bancaire. C’est toi qui l’as pris !
    Je lui explique alors que je ne peux que lui verser son salaire, et qu’il m’est impossible de le récupérer.
    — Non, c’est toi qui as pris mon argent !
    Il est parti, puis il est revenu avec le relevé de son compte bancaire. Je vois que l’argent est bien arrivé et je lui montre du doigt la dernière opération effectuée, lors de laquelle l’argent a été prélevé. La date, l’heure, et l’endroit y étaient indiqués.
    — Ce n’est pas moi qui l’ai pris. C’est toi.
    Je comprends que cette histoire tourne au vinaigre et je commence à lui expliquer que seul celui qui a la carte et le code PIN peut prélever de l’argent. Il me répond :
    — J’ai donné ma carte à ma femme, mais elle n’a pas pu en prélever ! C’est elle qui me l’a dit. C’est toi qui as pris mon argent ! © Natalie Natalie / facebook

  • Là, un client essaye de me prouver qu’il n’a pas besoin de toilettes dans son bâtiment commercial. Il me dit qu’il y en a dans le bâtiment voisin. Vous voyez avec qui je suis obligé de travailler ? © anindividuum / twitter

  • Aujourd’hui, au supermarché, un homme est resté planté devant la caisse en libre-service pendant environ 5 minutes en lançant des jurons et en frappant la balance. Finalement, il s’est mis à crier et s’est plaint au gérant que l’article ne figure pas dans la liste. Il s’est avéré qu’il a tout simplement tapé “pome de terre” au lieu de “pommes de terre”. © just_like_danny / twitter

  • Il y avait une enseignante que tous les écoliers aimaient saluer. Pendant l’été, on nous a coupé l’eau chaude. Ma voisine, cette enseignante d’école primaire, a décidé d’aller aux bains publics. Alors qu’elle se lavait la tête, quelqu’un lui a soudainement tapoté l’épaule et a crié : “Madame Millet ! Madame Millet !” Elle s’est rincé les yeux et a vu qu’un de ses élèves de CP se tenait à côté d’elle : “Madame Millet, bonjour ! À vous aussi, on vous a coupé l’eau chaude ? À nous aussi ! Et ma mère est là-bas !” © Елена Акодус / facebook

  • Je travaille comme manager. Mon jour de travail arrivait à sa fin et il ne me restait qu’environ une heure. Tout à coup, un homme dans la quarantaine, plus haut que moi et un peu saoul entre dans la salle. Nos regards se croisent. Il s’approche tout près de moi et me dit :
    — On sort un instant ?
    J’ai enlevé mon badge et j’ai prévenu mes collègues, qui me regardaient d’un air interrogateur, que je reviendrai dans un instant. Nous sommes sortis dehors, mais dans ma tête, je pensais : “Je le laisse finir, puis je lui en colle une”. L’homme s’est approché, s’est penché vers moi, et a commençé à murmurer comme s’il s’apprêtait à me révéler un secret, en me disant :
    — J’ai besoin d’un rasoir électrique. Lequel tu me conseilles de prendre ?
    — Allons dans la salle, je vous montrerais quelques modèles, — Lui ai-je répondu d’un air confus.
    Nous entrons, mes collègues commencent une fois de plus à se poser des questions.
    Je leur fais signe de la tête, genre, je vous expliquerai plus tard, puis nous nous sommes dirigés vers le rayon des rasoirs électriques. Finalement, il a acheté un appareil à 200 euros, m’a serré la main, puis est parti, très heureux d’avoir effectué un nouvel achat. © HomeForKolibri / pikabu

“Nous vous souhaitons de merveilleuses découvertes !”

Le livre : George Orwell, 1984.

  • Je connais une artiste qui illustre des livres pour enfants. Pour l’un de ces livres, elle a dessiné des princesses. L’éditeur a dit que les dessins sont bien, mais qu’il faut effacer les oreilles des princesses, car seuls les garçons en ont. © AlexandrFokin / twitter

  • J’ai un client assez intéressant. Il est à moitié client, à moitié professeur de zen. Il a plusieurs fois libéré mon esprit en brisant les chaînes de la logique formelle :
    Lui : “Avez-vous reçu le fichier ?” Moi : “Non”. Lui : “Je vais donc vous l’envoyer”. © guldan_orc / twitter

  • Je travaille comme conseiller en vente, et je collectionne les nouveaux noms de couleur que partagent nos clients :
    — Bleu comme la queue d’une sirène.
    — La couleur d’un concombre mûr.
    — Un jaune d’enfer.
    — Un foncé lumineux.
    — Le rose royal.
    — Une couleur qui rappelle au mari son infidélité.
    — Un blanc propre, mais qui ressemble à un blanc sale. © Wizard_Severus / twitter

  • La femme de mon frère travaille comme serveuse. Récemment, ils ont reçu un groupe de clients, et l’un d’entre eux a décidé de commander une “longue Islande”, mais personne n’a compris ce que cela signifie. Il a alors indiqué du doigt “Long Island” dans le menu et a dit : " Bah voilà, la “longue Islande”. Vous ne parlez pas anglais ou quoi ? " © hovrashe / twitter

  • Il lui a offert un bracelet connecté. Elle le portait toute la matinée, puis toute la journée, mais le soir, elle s’est allongée sur le canapé, a mis une serviette humide sur son front, et a appelé les urgences en disant : “J’ai soit un pouls de 120, soit de 130. Que me conseillez-vous ?” Les ambulanciers ont enregistré son électrocardiogramme et lui on conseillé de jeter ce bracelet connecté. © Feldsher669 / twitter

  • Je travaille dans le tourisme. Un des clients a annulé son voyage. Je lui téléphone pour en savoir plus sur la raison d’une telle décision, et j’entends la réponse : “Désolé, nous avons dessoûlé !” © Podslyshano / twitter

  • La patiente me racontait pendant 10 minutes qu’elle a une “sclérose de la colonne vertébrale”.
    — Peut-être voulez-vous dire scoliose ? — Lui ai-je suggéré.
    — Vous pensez que je suis une idiote ou quoi ?! Ça fait 10 ans que mon dos me fait mal à cause de cette sclérose, vous pensez que je ne sais pas comment elle s’appelle ?!
    D’accord, on l’écrira comme ça alors. © brocc_olli / twitter

  • Je travaille comme photographe. Voici les phrases “préférées” de mes clients :
    — Notre iPhone est meilleur que votre appareil photo, il y a plus de mégapixels dans la caméra ! Bientôt, personne n’aura besoin de photographes.
    — Eh, bah, c’est pas donné vos prix ! Léo/Thomas nous fera les mêmes photos avec son appareil !
    — Nous avons un tas de photos dans notre téléphone, pourquoi aurions-nous besoin d’en imprimer ? Vous faites un beau travail, c’est sûr, mais au XXIe siècle, ça n’a plus aucun sens. © aarbyzikk / twitter

  • Je travaille dans un magasin, et je rencontre souvent des situations du genre :
    — Le doré, c’est une couleur pour femme, n’est-ce pas ?
    — C’est une montre pour homme ?
    — Donnez-nous une tablette blanche, pour une fille.
    Et j’explique, j’explique, j’explique en vain que les appareils n’ont pas de genre. Pour l’instant, j’ai du mal à y arriver. © thamitten_ / twitter

  • Le patient s’assied et soupire :
    — La météo promet une vague de froid...
    — ?
    — Avant, il faisait toujours froid pour Noël ...
    — Quel problème de santé avez-vous ?
    — Mais maintenant, il ne fait que pleuvoir... Vous vous souvenez de l’hiver qu’on avait avant ? Ça fait très longtemps que l’on n’y a plus droit. Avant, tout était différent. Et mon dos ne me faisait pas mal. Contrairement à aujourd’hui.
    Bon, au moins on a tiré ça au clair. © brocc_olli / twitter

  • Mon patient-caniche court dans tout le cabinet. Je l’appelle : “Viens ici, mon beau ! Je vais te gratter, te caresser !” Le chien est timide, il refuse de s’approcher, et le propriétaire lui a donc lancé quelque chose du genre : “Barry, va vite voir madame Vadnais, ou je vais te devancer. C’est moi qu’elle caressera. J’en ai plus besoin que toi”. © veterinastya / twitter

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