Alors que j'avais répondu à une annonce pour être "vendeuse" dans une boulangerie en région parisienne alors que je suis une secrétaire.
J'ai dormi dans l'appartement prêté aux employées, avec une fumeuse qui mettait la musique à tue-tête.
Le lendemain matin, je commençais mon travail habillée en tailleur.
Et là, j'ai dû : laver les grilles de cuisson, laver les tissus de présentation avec les sous-vêtements de la patronne, j'ai dû sortir son chien (en février, en petites chaussures dans la neige), frotter à la brosse les marches moquettées qui menaient à l'appartement des patrons, préparer le repas pour le personnel, etc... et là j'ai atteins mes limites... j'ai exigé que le patron me signe le document de l'agence de l'emploi me donnant droit au trajet gratuit en train... et je suis repartie à l'appartement pour me changer et ranger toutes mes affaires.
Il vient alors avec l'autre employé me reproche "comme tous les provinciaux de manquer de courage et de se croire les rois à Paris", de me menacer de reprendre le document et de me séquestrer... ce à quoi j'ai répondu que sur le trajet il y avait une gendarmerie auprès de laquelle je n'hésiterai pas à porter plainte.
Après cela, j'ai rayé Paris et la vente de ma liste des emplois potentiels.
20 Salariés racontent comment ils ont eu le courage de quitter un emploi sans aucun remords
C’est curieux
Il y a 2 ans
Souvent, nous supportons des situations désagréables dans l’espoir que tout finisse par changer. Néanmoins, bien que ces circonstances soient gênantes, elles nous montrent notre réelle valeur et nous prouvent que nous ne devrions pas supporter ce genre de choses. Finalement, toute expérience donne lieu à des leçons importantes, même dans la sphère professionnelle.
Chez Sympa, nous avons sélectionné des récits de personnes qui ont vécu des moments épouvantables au travail, pour prouver qu’il faut toujours faire passer son bien-être au premier plan.
- J’ai travaillé chez un concessionnaire automobile pendant 12 ans, j’ai commencé au bas de l’échelle. J’ai été apprenti et j’ai évolué en fonction de mes capacités jusqu’à devenir directeur. Un jour, mon patron a été licencié et je pensais qu’on allait m’offrir son poste. Néanmoins, ils ont embauché un ami du patron, qui ne savait même pas répondre à un e-mail sans l’aide de quelqu’un ! Il essayait de tout apprendre pour me mettre à la porte ; quand je m’en suis aperçu, j’ai arrêté de l’aider et de me donner à fond, comme ça il pouvait me licencier une bonne fois pour toutes. Morale de l’histoire : j’ai été congédié peu de temps après et j’en suis très heureux, parce que j’ai ouvert ma propre entreprise et je suis beaucoup plus heureux. Ça coûte cher de garder un mauvais employé ! ©️ Cesar Augusto Legitimo / Facebook
- J’ai demandé à mon patron de travailler moins d’heures pendant quelques semaines parce que j’étais sur le point d’obtenir mon deuxième diplôme universitaire. Au lieu de cela, on m’a demandé de faire des heures supplémentaires parce que ma collègue (narcissique) n’arrivait pas à terminer son projet à temps (elle ne le faisait jamais, il y avait toujours quelque chose. Du coup, une autre personne devait corriger ses erreurs cumulées sur des mois entiers en seulement quelques jours, ça tenait du miracle). Je l’ai fait. Le patron m’a demandé de remplacer notre responsable de département, qui était stressé (sans rien recevoir en échange). Je l’ai fait. La narcissique et un autre collègue ont commencé à me harceler. Le patron a promu la narcissique comme responsable de (mon) département. J’ai essayé de continuer pendant un certain temps, mais j’étais stressé. J’ai demandé à être muté dans un autre département. Le patron a refusé. Alors j’ai démissionné. L’une des meilleures décisions de ma vie. Et oui, j’ai été bête de supporter cet environnement malsain et ces personnes toxiques pendant dix ans. C’était l’un de mes premiers emplois après l’université, et ils m’ont fait croire que je ne valais rien et que je devais être heureux de travailler là-bas. Mais j’ai appris la leçon. Je ne vais plus jamais travailler pour un lâche, une narcissique ou un environnement toxique. Désormais, j’ai un bon travail avec un super patron et ma vie s’est améliorée de 200 %. ©️ tirali11 / Reddit
- Je me suis inscrite à un stage et je me suis rendue à l’entretien. Une femme m’a reçue et m’a parlé du salaire que j’allais percevoir. Je lui ai répondu que, même s’il était bas, c’était bien, parce que j’allais beaucoup apprendre au sein de l’entreprise. La personne m’a répondu que j’avais de la chance de toucher cette somme d’argent, parce qu’à son époque, elle aurait adoré être payée pour travailler et apprendre. Elle m’a dit qu’elle m’appellerait tel jour, parce que j’étais faite pour le poste. Des mois se sont écoulés et je n’ai reçu aucun appel. Tant mieux pour moi. ©️ Cassiane Sasset / Facebook
- Dans une agence de recrutement, j’ai participé à un cours de réceptionniste pour travailler dans un cabinet médical. Tout s’est très bien passé et j’ai rapidement trouvé un poste dans une clinique. J’avais besoin de ce travail, alors je l’ai accepté. Dans la foulée, j’ai découvert qu’ils ne payaient pas les infirmières en temps et en heure, qu’ils ne finançaient pas leurs tenues, et pas non plus les frais de transport. J’ai dit au docteur que j’allais démissionner, que je n’arrivais pas à m’adapter. À ma grande surprise, il a appelé l’agence de recrutement et a inventé un mensonge. ©️ Tatiana Lustosa Dalallibera / Facebook
- J’ai eu d’excellents patrons, mais certains laissaient vraiment à désirer. Un jour, je sortais de 12 heures de travail à l’hôpital et je suis partie chez une dame dont je m’occupais. C’était le matin, j’avais faim, alors j’ai pris deux bananes et je les ai mangées. Le lendemain, j’ai entendu du boucan dans la cuisine et je suis allé voir ce qu’il se passait. La femme était furieuse. Je lui ai dit que j’avais mangé les fruits et j’ai été surpris par sa réponse. Les choses n’allaient pas pour le mieux. Par la suite, la femme a tout fermé avec un cadenas, même le réfrigérateur. Je lui ai dit deux mots, j’ai pris mon sac et je suis parti. Précision : je n’ai pas attendu qu’on me licencie. Je ne l’ai simplement pas traitée de “sainte”. Ensuite, je lui ai donné tous les noms d’oiseaux. Je ne vais jamais oublier cette histoire. ©️ Jack Carvalho / Facebook
- J’ai travaillé pour une entreprise pendant cinq jours ; j’ai commencé un lundi et j’ai abandonné le lendemain. Raison : le vestiaire des employés était inondé, on n’avait pas d’endroit pour se changer et le micro-ondes ne fonctionnait pas, alors on devait manger notre nourriture froide. Pendant ce temps, les directeurs se baladaient en hélicoptère. Après 15 heures de travail, j’ai dit que je devais abandonner mon poste, parce que ma mère était malade, et mon patron m’a dit par téléphone que je n’étais pas autorisé à partir. Je lui ai dit que ce n’était pas une question, mais une affirmation. Le lundi ma lettre de démission était déjà prête. ©️ Wil Witmar / Facebook
- Par le biais d’une visioconférence pour toute l’entreprise, nous avons été informés que notre salaire allait être baissé de 10%. Dans la foulée, ils ont demandé si nous avions des questions. “Une seule, David. Puisque tout le personnel des opérations verra son salaire baissé de 10%, je suppose que vous subirez la même chose, ainsi que toutes les personnes de la direction...”. Silence. J’ai démissionné une semaine après et j’ai trouvé un emploi dans une entreprise incroyable pour laquelle j’ai travaillé pendant six ans. ©️ Grunt0802 / Reddit
- Quand je travaillais au sein d’une grande entreprise, on m’a demandé de rester après mon horaire de travail pour rendre un rapport urgent, sans me demander si je pouvais. Apparemment, il n’y avait pas d’employés efficaces pour réaliser cette tâche. Ils ont laissé deux employées seules pour faire le travail, sans la supervision de qui que ce soit. Le lendemain, on m’a seulement remerciée. ©️ Marina Moghrabi / Facebook
- Je cherchais désespérément un travail, j’avais besoin d’argent. On m’a coupé l’eau, l’électricité, et je n’avais presque pas de quoi manger. Je suis partie vivre chez une amie. À cette période, pendant que je cherchais du travail, une école de langues m’a contactée pour un poste de secrétaire. Je me suis préparée et j’y suis allée à l’heure convenue. J’étais une habituée des entretiens autour d’une table, avec des questions ou, maximum, ceux avec une sélection de candidats qui passent des tests et des épreuves éliminatoires. Mais dans cette école, c’était différent : ils m’ont laissée avec une autre candidate à la réception, à côté de l’employée, toute la journée. Nous sommes restées là-bas jusqu’à 17h00 sans manger, sans pause, sans apprendre quoi que ce soit. Je posais beaucoup de questions sur le fonctionnement de l’école, mais l’employé se contentait de parler de la propreté des lieux. J’étais morte de faim, mais nous ne pouvions que boire de l’eau. Je n’ai posé aucune question sur le déjeuner, le salaire ou les horaires de la fin de cet “entretien professionnel” parce que je voulais le poste. À la fin de la journée, alors qu’il faisait presque nuit, ils m’ont dit : “Bon, nous allons fermer l’école. Nous avons votre numéro, nous vous recontacterons”. Ils ne l’ont jamais fait. ©️ Chilena Misora / Facebook
- J’ai travaillé dans une boutique d’alimentation où la propriétaire ne faisait que donner des ordres et se prenait pour la reine du service. En pleine haute saison, avec une forte fréquentation dans l’établissement, elle a commencé à crier que les commandes étaient mal faites. Elle a dit que nous étions des incompétents. Je me demande encore comment elle a pu travailler seule toute la journée, en faisant les pains, les gâteaux, les sandwichs et en servant les clients, en préparant les commandes et en encaissant les articles. Au moment où elle s’est mise à nous crier dessus, tous les employés ont quitté le magasin. Le lendemain, elle est arrivée en pleurant et en s’excusant. C’était drôle ! ©️ Andre Silveira Jr. / Facebook
- Un jour, j’ai travaillé dans une entreprise où on m’a licencié sans aucune raison valable et, quand j’y suis allé pour recevoir mon indemnisation, ils n’avaient pas d’argent. Les RH m’ont dit que la banque ne leur avait pas encore débloqué la somme. Ensuite, j’ai essayé de contacter la société à plusieurs reprises, en vain. J’ai décidé de prendre un avocat, et le jour de l’audience, la belle-fille du propriétaire de l’entreprise a été le représenter. Elle a dit au juge que je n’avais pas reçu l’indemnisation parce que je n’avais pas été la chercher. Pendant ce temps, le juge tenait entre les mains toutes les preuves qu’ils ne m’avaient pas payé, même leurs messages inventant des excuses. ©️ Lwdy Martins / Facebook
- J’ai travaillé dans une entreprise pendant sept ans et, ils ont changé de patron. Il a décidé de m’envoyer dans un bureau plus éloigné. Il m’a dit qu’il n’avait pas de raison de le faire, qu’il considérait que j’étais une bonne employée, mais qu’il pensait que c’était mieux ainsi. Je lui ai dit que je préférais être licenciée, parce que j’avais un enfant en bas âge et que je ne pouvais pas me permettre de travailler plus loin. Il a accepté et m’a demandé si j’avais des questions. Je lui ai demandé si je pouvais rentrer chez moi, parce que c’était un jour férié, alors il m’a laissée partir. Ensuite, j’ai appris qu’il s’agissait d’une stratégie pour que je le supplie de rester et que j’accepte une baisse de salaire. ©️ Luciana Vasconcellos / Facebook
- Je travaillais dans une société qui a subitement fermé ses portes, affirmant qu’elle allait ouvrir à une autre adresse. Nous sommes restés à la maison pendant cinq mois sans toucher un centime, alors que le patron avait promis de maintenir notre salaire. Quand ils ont ouvert les nouveaux locaux, c’était pire : j’ai travaillé pendant deux mois sans être payée. Ils disaient qu’ils n’avaient pas d’argent, qu’ils n’arrivaient pas à payer le loyer de la boutique. Je n’ai pas été payée ni en décembre, ni en janvier, même chose pour les 13 autres salariés. ©️ Izabel Cristina / Facebook
- Je travaillais dans une entreprise quand on m’a licencié pour embaucher une amie de ma patronne, mais avant ça, elle m’a donné six dossiers et m’a dit qu’elle en avait besoin pour vendredi. Ils m’ont dit de travailler jusqu’à ce que je reçoive le préavis, que tout serait notifié juridiquement, alors j’y suis allé. Le vendredi, elle m’a demandé où en étaient les dossiers et si tout était prêt. Je lui ai répondu que je ne les avais pas vérifiés ni ouverts. Du coup, elle s’est tournée vers moi et m’a demandé : “Ah, parfait, et je fais quoi maintenant ?”. Je lui ai répondu : “Je ne sais pas, vous pouvez me licencier si vous voulez”. J’ai reçu le préavis et je n’ai plus eu besoin d’y retourner. ©️ Felipe Dias / Facebook
- Le directeur de l’entreprise dans laquelle je travaillais a fait une réunion avec les employés pour annoncer que le patron était licencié. Motif du licenciement : il était très professionnel, alors il devait être libre et voler de ses propres ailes. Il avait besoin de quelque chose de mieux, mais qu’ici il ne pouvait pas évoluer et le garder au sein de l’entreprise ne serait pas juste pour lui. Le patron (qui était mon beau-frère) pouvait évoluer... si on lui offrait le poste de directeur. ©️ Barbara Quedas / Facebook
- Un ami m’a raconté qu’il s’était mis d’accord avec ses collègues pour se rendre au bureau le samedi afin d’accélérer le travail. L’un a proposé d’apporter du pain, un autre quelque chose de sucré, un autre un thermos de café, et l’avancée du travail ressemblait déjà à une fête, car tout le monde était excité par cette idée. Ce jour-là, il a appris la définition du sarcasme, car il s’est retrouvé tout seul et, comme personne ne l’a aidé, il a dû travailler seul toute la journée. Ils n’ont pas arrêté de lui rajouter des choses à faire. Détail : les heures supplémentaires n’étaient pas prises en compte, puisqu’il était interdit de pointer après les heures “normales”. S’il le faisait, il pouvait avoir des problèmes avec les RH. ©️ Eliana Honda Ouki / Facebook
- J’ai commencé à travailler dans une multinationale. Après trois mois, ils ont changé mes jours de travail, du lundi au samedi (au lieu du lundi au vendredi). Mes heures supplémentaires étaient payées, mais j’étais obligé de travailler le week-end. Deux mois se sont écoulés et on m’a déduit 48 minutes de travail du lundi au vendredi, alors je ne faisais plus d’heures supplémentaires le samedi et j’ai été obligé de compenser le temps perdu. Quatre mois plus tard, ils m’ont obligé à travailler du lundi au dimanche, jusqu’à 22h, même si j’allais à l’université le soir, ils m’ont même embauché pour ça. En résumé : j’ai sorti la clause de mon contrat qui stipule qu’ils ne pouvaient pas changer ma charge horaire sans que les deux parties ne soient d’accord. J’ai arrêté les heures supplémentaires et je travaillais seulement du lundi au vendredi. Les autres employés avaient peur d’être licenciés, alors ils ont continué à travailler sans protester. J’étais le seul technicien à ne pas faire d’heures en plus. Je n’avais pas peur d’être viré, parce que le travail doit être bien fait des deux côtés, pas seulement pour l’employeur. ©️ Theo Ramires / Facebook
- J’ai commencé à travailler dans une entreprise en tant que stagiaire, et ma patronne (qui a débuté dans la société seulement trois mois avant moi) a dit à la direction qu’elle n’avait pas besoin d’assistante, qu’elle voulait se charger seule de son travail. En réalité, je suis devenue son assistante avec un salaire de stagiaire et, une fois que je terminais ma journée, elle considérait que c’était absurde que je parte à l’heure. Un an plus tard, j’ai été embauchée en tant que standardiste et elle ne comprenait pas comment je n’arrivais pas à exécuter mes tâches, en plus du travail qu’elle me donnait. Je lui ai dit que si elle ne pensait pas m’engager en tant qu’assistante, qu’elle en trouve une. Elle a crié que j’étais une incompétente et que mon comportement était intolérable. J’ai simplement arrêté de faire son travail et je me suis consacrée au mien. Ils ont fini par la licencier, parce qu’elle n’arrivait pas à terminer ses tâches. Le nouveau patron m’a embauchée comme assistante et a engagé une personne au poste que j’occupais. ©️ Janine Castro / Facebook
- Une fois, j’ai travaillé pendant deux jours dans une société de recouvrement. Le premier jour, on m’a donné une mission relativement simple. Le deuxième, ils m’ont demandé de tout expliquer à une nouvelle salariée et j’ai changé de poste. Quand j’ai souhaité connaître les raisons de ce changement, le patron m’a dit : “Vous avez fait des études dans l’administration et vous ne savez rien à propos du recouvrement ?”. J’étais stupéfaite et il a décidé de me sermonner pendant deux heures. Le lendemain, j’ai envoyé un message en disant que je n’allais plus y retourner. ©️ Elis Marina Gonçalves Brandão / Facebook
- Quand j’étais jeune, j’ai été embauchée en tant que cuisinière chez des particuliers. La cuisine et l’organisation de la cuisine faisaient partie de mes attributions, mais à chaque fois que je terminais mon travail, la patronne me disait : “Lau, pouvez-vous aider ’unetelle’ à ranger la maison ?”, “Lau, pouvez-vous aider ’unetelle’ à organiser les vêtements ?”. Et moi je restais avec les deux femmes et je les aidais. Un jour, la voiture de la fille de la patronne perdait de l’huile et a taché tout le sol du garage. Du coup, la pauvre ’unetelle’ est allée avec un produit ménager et une éponge pour le nettoyer. La patronne m’a encore une fois demandé de l’aider. J’ai dit fermement “NON !”. Et elle a eu l’audace de me demander pourquoi je ne voulais pas l’aider. Je lui ai répondu que je n’avais pas été engagée pour réaliser ce type de tâches. Avec toute son arrongance, elle m’a dit : “Je savais que vous n’aviez pas le profil pour travailler chez moi”. Je lui ai répondu : “Non, madame, je n’ai pas le profil pour être une esclave. L’esclavage a été aboli depuis longtemps”. ©️ Laudiceia Silva / Facebook
As-tu déjà vécu des situations professionnelles totalement absurdes ? Comment as-tu réussi à y échapper ?
Photo de couverture Felipe Dias/ Facebook
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