17 Personnes qui ont eu recours à la logique pour se venger et prouver qu’elles étaient bien plus intelligentes
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L’environnement dans lequel grandit l’enfant influence en quelque sorte son avenir. Cela se remarque particulièrement chez les personnes issues de familles avec des difficultés financières. Le voisinage, les camarades de classe et même l’environnement écologique de l’endroit où on passe notre enfance conditionnent en fin de compte notre personnalité : sera-t-on prêt à enchainer les échecs ou deviendra-t-on quelqu’un qui réussit tout ?
Chez Sympa, nous souhaitons aujourd’hui partager avec toi nos découvertes concernant les traits de caractère et les habitudes qui distinguent les personnes qui ont grandi dans une famille à budget serré de celles qui sont la progéniture de parents aisés.
Les personnes qui ont eu des privations durant leur enfance sont plus susceptibles de succomber à des tentations momentanées. Elles vont acheter un tas d’articles inutiles pendant les soldes, et lorsqu’elles décident de suivre un régime, ce dernier risque d’être soudainement interrompu et compensé par une montagne de friandises.
Les personnes qui ont grandi dans une famille aux revenus modestes se contentent de peu dans la vie quotidienne. Elles sont capables de pousser ce trait à l’extrême : par exemple, porter les mêmes chaussures pendant des années jusqu’à ce qu’elles tombent en miettes, passer les vacances toujours au même endroit au lieu de chercher de la nouveauté et d’élargir leurs horizons. Elles se font rarement plaisir et se privent souvent de distractions.
Le stress provoqué par le manque de moyens matériels peut entrainer une altération de la mémoire à court terme chez les enfants par rapport à leurs camarades qui viennent de familles aisées. De plus, les adultes qui ont grandi dans des conditions financières difficiles retiennent moins bien l’information, abandonnent souvent face à un problème et ont un sentiment d’impuissance.
Non seulement les jeunes, mais aussi les personnes âgées, sont plus susceptibles de prendre des risques et de se lancer dans des aventures si elles passent leur enfance dans des conditions financières difficiles. Souvent, elles ne savent pas épargner ni planifier leur avenir, et veulent plutôt tout obtenir de suite.
Moins une personne a de l’argent, plus elle fuit la vie réelle et passe du temps à regarder des séries télévisées, des films et des émissions. Par exemple, les adolescents issus de familles modestes passent près de deux heures par jour de plus devant leurs smartphones et tablettes que ceux des familles aisées. Mais la principale différence réside dans la nature des recherches que font les jeunes sur internet : les enfants de parents aisés sont plus susceptibles de l’utiliser pour trouver des informations et lire les actualités, tandis que les adolescents issus de familles à faible revenu préfèrent jouer à des jeux vidéo et discuter.
Quant aux adultes, de nombreuses personnes à l’aise financièrement jouent aux jeux vidéo, mais pas plus d’une dizaine d’heures par semaine. Et le nombre d’heures passées devant l’écran est inversement proportionnel aux revenus : par exemple, les personnes qui gagnent entre 400 000 et 500 000 euros par an ne consacrent pas plus de 2,2 heures par semaine aux jeux vidéo.
Quant aux millionnaires, ils passent beaucoup plus de temps à tenir un livre que leur manette de jeu. Bill Gates, par exemple, lit environ 50 livres par an.
Lorsqu’elles rencontrent des inconnus, les personnes issues de familles modestes maintiennent volontiers un contact visuel, elles sourient et sont expressives. Elles reconnaissent facilement les émotions de l’autre et ont tendance à être plus empathiques. Au contraire, celles qui ont grandi dans une famille aisée sont reconnues lors d’un entretien ou d’une conférence comme de mauvais communicants ; elles vont tantôt s’agiter sans raison, tantôt se figer complètement derrière sa tablette ou son calepin. Se sentant indépendantes des autres, ces personnes ne s’encombrent pas avec des contacts sociaux inutiles et prêtent plus attention aux choses qu’aux personnes.
Bien que les conflits financiers soient l’une des principales raisons des ruptures dans un couple, les personnes vraiment aisées sont beaucoup moins douées pour construire une relation vraiment heureuse. Beaucoup d’entre elles ne sont pas capables de faire des compromis, se remettre en question et ont tendance à accuser sans cesse leur moitié. Les personnes issues de familles modestes sont plus empathiques et souples dans leurs relations. Elles ont plus de chances de fonder des liens familiaux heureux.
De quel milieu viens-tu ? Quelles valeurs tes parents t’ont-ils inculquées ?