15+ Lecteurs de Sympa nous raconte les prénoms les plus excentriques attribués aux enfants par leurs proches

Nous avons tous nos joies et notre façon de les atteindre. Mais il est toujours agréable de pouvoir jouir du fruit de son travail et de se rendre compte que tous nos efforts ne furent pas vains. Et les réussites personnelles, aussi bien les grandes que les petites, doivent être partagées parce que ce sont des histoires qui peuvent très bien être une source d'inspiration pour d'autres.
Sympa a rassemblé 20 histoires de personnes qui partagent leur réussite personnelle et nous espérons qu'elles ne s'arrêteront pas en si bon chemin et continueront à lutter pour réaliser leur rêve.
"La fille de mon propriétaire a le même âge que moi. Elle est allée à l'école, au lycée, à l'université. Il y a peu de temps, elle s'est mariée à un homme très riche et refuse de travailler, pensant que ses parents devraient la soutenir tout au long de sa vie. Mon propriétaire m'appelle l'ignorante, mais mon salaire aide mes parents à vivre dans une belle maison, à leur acheter des produits de bonne qualité pour manger ; et l'argent en plus que je gagne pour mes heures supplémentaires sert pour les études de mes deux jeunes sœurs. Le travail que je fais est ma force, et si c'est le cas, je suis ravie d'être ignorante".
"Je suis étudiant en quatrième année à l'université et la seule montre que j'avais était une simple Fossil que m'avait offerte ma copine pour mon anniversaire. Je l'ai utilisée pendant trois ans jusqu'à ce qu'elle tombe par terre et se casse. Ça s'est passé il y a presque deux ans. Je n'avais pas eu le luxe de pouvoir m'en acheter une autre depuis. Je me suis enfin mis cet objectif : j'ai travaillé tout l'été et j'ai enfin pu faire cet achat tant attendu. Sérieusement, je suis enchanté de ma nouvelle montre et ne regrette absolument pas tout le travail qu'elle m'a couté.
"Il y a 20 ans, j'ai déménagé à Daca avec mes trois enfants : je suis professeur de mathématiques. Ma journée commençait à 7 heures du matin et se terminait à 11 heures du soir. Je ne prenais pas les transports en commun et marchais près de huit kilomètres par jour, je ne mangeais que très peu et économisais ainsi tout mon argent pour les études de mes enfants. Aujourd'hui, ma fille est docteur, mon aîné est ingénieur en mécanique et le plus jeune est étudiant à l'université de Daca. Et il y a quatre ans, avec l'argent que j'avais économisé, j'ai ouvert une pharmacie et ai arrêté d'enseigner. Tous mes rêves sont devenus réalité uniquement grâce à ma déternination et mon dur labeur".