12 Secrets de famille embarrassants que les enfants ont accidentellement révélés à un étranger

Malgré les nombreuses connaissances actuelles au sujet du monde animal, beaucoup de personnes continuent à croire à de vieux mythes transmis de génération en génération depuis des centaines d'années. Par exemple, la croyance populaire selon laquelle les autruches enfouissent leur tête dans le sable proviendrait des œuvres de l'écrivain et historien romain Pline l'Ancien, qui a affirmé dans ses écrits : "elles s'imaginent qu'une fois avoir caché leur tête sous terre que tout leur corps soit disparu”. Mais il se trompait...
Il est parfois difficile de distinguer la fiction de la réalité, surtout quand il s'agit des animaux.
Chez Sympa, nous te présentons, aujourd'hui, 18 idées reçues sur les animaux auxquelles il est temps d'arrêter de croire.
La plupart des oiseaux ne distinguent quasiment pas les odeurs, et ne perçoivent donc pas la trace olfactive humaine laissée sur leur progéniture.
Les abeilles mellifères ont un dard pointu et crocheté, si bien qu'il reste coincé dans la peau de la personne, et l'insecte, essayant vainement de se libérer après la piqûre, arrache une partie de son abdomen et finit par mourir. Mais il existe des milliers d'autres types d'abeilles dotées d'un dard lisse, et qui peuvent donc piquer des centaines de fois et continuer à vivre heureuses comme si de rien n'était.
Dans le désert, la graisse est beaucoup plus utile que l'eau, puisqu'elle fournit aux dromadaires l'énergie nécessaire pour se déplacer et pour leur métabolisme.
En 2003, les scientifiques ont prouvé que les poissons rouges pouvaient se souvenir d'événements qui se sont déroulés trois mois auparavant. Par exemple, ils se souviennent parfaitement des formes et des couleurs.
Les autruches penchent leur tête quand elles avalent de petits cailloux afin d'améliorer le processus digestif. De plus, après une longue course, elles n'ont plus de force pour maintenir leur cou rigide, c'est pourquoi elles ont la tête près du sol. Et de loin, on peut avoir l'impression qu'elle soit enfouie dans le sable.
Il a été prouvé que les requins pouvaient percevoir une goutte de sang dans une piscine, mais même avec un sens de l'odorat développé, ils ne peuvent pas faire beaucoup mieux.
Les dauphins tuent parfois leur progéniture et attaquent certains poissons. De plus, avant de tuer leurs victimes, ils peuvent avoir des relations sexuelles avec elles.
Les serpents sont presque sourds, ils réagissent simplement à certains mouvements du fakir, mais pas à la musique en elle-même.
Cela n'existe que dans les dessins animés. C'est comme si l'être humain buvait par le nez...
Cela arrive dans de très rares cas. En général, ce comportement n'est pas considéré comme normal chez les mantes religieuses femelles.
Les hiboux ne sont pas si intelligents que ça. Des expériences ont montré que les corbeaux, les pigeons et les perroquets étaient bien plus malins, et plus faciles à dresser.
Sur terre, les crocodiles peuvent se déplacer à une vitesse de 15 kilomètres par heure, ce qui est comparable à celle d'un chat qui court.
Grâce à Bugs Bunny, ce mythe est devenu très populaire. Bien sûr, les lapins mangent des carottes, mais ils préfèrent de loin les herbes et les feuilles.
Le chat peut ne pas avoir le temps de se retourner pendant une chute de faible hauteur. De plus, en vieillissant, les chats perdent leur souplesse et leur agilité.
Les scientifiques ont placé des souris en compagnie d'éléphants, ils les ont mises sur leur trompe, et même dans leur nourriture, et les éléphants ont toujours réagi avec calme.
Cette affirmation sur les guépards est vraie si l'on prend en compte seulement les animaux terrestres. Mais si l'on considère tous les animaux du monde, le plus rapide est un rapace, le faucon pèlerin, qui, lorsqu'il se précipite sur une proie, peut atteindre une vitesse de 390 kilomètres par heure.
Ces drôles de créatures ont un métabolisme beaucoup plus lent que d'autres animaux de leur taille. Il n'est donc pas surprenant qu'ils soient très lents.
Les scientifiques ont découvert qu'il y a 6 à 8 millions d'années, les humains et les chimpanzés partageaient un ancêtre commun, mais par la suite, ils ont évolué de façon différente.