14 Personnes racontent des choses étranges qui leur sont arrivées et qui ne peuvent pas être expliquées logiquement
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Ceux qui sont déjà allés au Japon ou même, qui ont vu des documentaires récents sur ce pays, ne peuvent pas s’empêcher d’être surpris par ses grandes villes modernes, sa population grouillante, ses espaces reduits et... l’absence de déchets. Oui, aujourd’hui, le Japon est très propre, mais il y a 40 ou 50 ans, les villes japonaises se noyaient dans des montagnes d’ordures qui poussaient à cause de l’essor colossal de l’économie d’après-guerre.
Sympa s’est intéressé à la façon dont les Japonais ont rendu leur monde beaucoup plus propre et nous nous sommes précipités pour partager les résultats avec toi.
Au Japon, le recyclage des déchets repose sur le principe de la collecte séparée des ordures. Bien que ce processus soit traité différemment dans les différentes préfectures, le système est généralement plus ou moins uniforme. Les déchets sont divisés en plusieurs catégories, selon la façon dont ils sont ensuite recyclés ou éliminés.
Combustible (bout de papier, déchets alimentaires, tissu, bois, poussière d’aspirateur, etc.)
Incombustible (polyéthylène, piles, objets en plastique et en caoutchouc, métal, verre et céramique)
Recyclable (papier, produits ménagers biologiques, plastiques ménagers, verre, huiles organiques, entre autres)
Objets lourds (meubles, appareils électroménagers).
Voici les principaux sous-types, au sein desquels il existe ensuite une hiérarchie et un système de collecte compliqué et très spécifique. Par exemple, dans certaines préfectures, les bouteilles peuvent être livrées dans n’importe quel état mais dans d’autres, elles doivent être seulement sans couvercle.
La connaissance de la langue et la collecte des ordures sont en effet deux choses complémentaires. Dans chaque emballage, très populaires auprès des Japonais, se trouvent les règles pour l’utilisation des sacs poubelle, accompagnées d’un manuel d’instructions très facile à comprendre. Mais les jours de la collecte de certains types de déchets sont rédigés en japonais.
Voici l’entrepôt de la société japonaise Radiostock. Il s’agit d’une collection d’anciens appareils et articles similaires. Tout a commencé avec l’amour que portait le Japonais Yuacca Ishii aux consoles. Il a trouvé une console dans une poubelle, l’a ramenée chez lui et l’a restaurée. Il a eu l’idée que cela pourrait être une bonne affaire : trouver, collecter et restaurer d’anciennes consoles. C’est ainsi qu’est apparu l’atelier de Radiostock, dédié à la recherche dans les entrepôts, les marchés et les ventes aux enchères, l’achat, la restauration et la vente ultérieure de consoles rétro.
Si on considère que la mode rétro a un vif succès auprès du public japonais et occidental, cette entreprise fait d’une pierre deux coups. Premièrement, cela donne la possibilité d’éliminer les appareils obsolètes, deuxièmement, cela leur donne une autre vie : dans 20 ou 30 ans, pour acquérir certains modèles, il y aura une véritable bataille.
En réalité, il semble que le Japon en a assez de la consommation excessive. Sinon, comment expliquer la popularité du “nettoyage à la japonaise” ? La popularité de cette philosophie a été influencée par les livres de Kon Mari, The Life-changing Magic of Tidying, et Yukiko Kaneko, Life Free from Dream, dont le principe, comme le décrivent les auteurs, est simple : tu dois éliminer de ta maison tout ce qui ne t’apporte plus de bonheur.