Quand j'étais encore enfants mes parents on interdit de sortir dans la rue sens ue donc je me suis jamais fait damiscar je suis trop timide maintenant que je suis adulte sa na toujours pas changer je suis toujours autant timide et je n'ose pas parler au gens
Les internautes parlent des comportements nuisibles des parents qui affectent leurs enfants
“Les parents ont une petite tendance à oublier qu’ils ont été enfants eux-mêmes”. Cette citation nous paraît très sage parce que, malgré que les parents aient de bonnes intentions, ils sont souvent fatigués, ne se rendent pas compte de leurs erreurs et ne font pas attention à certaines choses importantes.
Les utilisateurs de Reddit discutent des comportements habituels de parents qui ont un impact négatif sur leur progéniture. Les enfants grandissent, mais n’arrivent pas à oublier la peine causée par l’attitude toxique de leurs mamans et papas. Beaucoup d’utilisateurs ont raconté leurs histoires personnelles. Sympa a sélectionné les plus touchantes.
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Quand j’avais 4 ans, mes parents ont adopté un petit chaton. C’était le plus mignon du monde ! Je lui faisais des câlins tout le temps. Au bout de quelques jours, le minou a disparu. Mes parents m’ont expliqué que le chaton était mort à cause de ma cruauté envers lui. Cela m’a choqué à tel point que je n’ai plus touché aux animaux pendant plusieurs années.
Par la suite, j’ai appris que mes parents avaient décidé de rendre ce chaton à ses anciens propriétaires. © thomoz
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Les questions incessantes de la part des enfants agacent souvent leurs parents. Mais les enfants ont besoin de passer par la période du “pourquoi”. Je connais beaucoup d’adultes qui m’ont avoué qu’ils avaient cessé de poser des questions durant leur enfance, parce que leurs parents n’aimaient pas leurs “pourquoi”. © rccrisp
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Les enfants souffrent de trop d’amour. Quand mon frère et moi sommes nés, maman a arrêté de vivre sa vie à elle. Elle nous aimait infiniment, bien sûr. Mais elle ne voyait plus ses amis, elle n’a pas repris son travail et est restée au foyer jusqu’à mes 20 ans. Elle était trop émotive, elle prenait mon mauvais comportement ou mes caprices d’enfant comme une insulte personnelle. Dans les dernières années avant mon départ, tous les conflits finissaient par ses larmes et ses reproches. En fait, je n’étais pas si vilain, mais un sentiment de culpabilité m’a accompagné durant de nombreuses années. Aujourd’hui encore, je me sens parfois coupable d’être un mauvais fils et de ne pas mériter l’amour de ma mère. © DBianco87
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Ton enfant n’est pas ton meilleur ami avec qui tu peux tout partager. Évite de lui mettre tous les problèmes d’adultes sur le dos. C’est trop difficile pour lui. © dumbgoddess
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J’ai grandi dans une famille asiatique avec des parents très stricts. La règle principale de mes parents était de “ne jamais les réveiller”. Je ne suis plus un enfant, mais je me tourmente chaque fois que je dois réveiller quelqu’un. J’ai 22 ans, mais je me souviens clairement des moments où mes parents criaient après moi et m’enfermaient dans le placard. © xickennoogit
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Les parents ne doivent pas dire : “Je me moque de savoir qui a provoqué le conflit”. Des frères et sœurs de beaucoup de mes amis avec qui j’ai grandi se comportaient de façon injuste avec eux, après ils pleuraient et jouaient la victime devant leurs parents. C’est pourquoi il est nécessaire de trouver le responsable du conflit. Les parents doivent expliquer qu’un comportement passif-agressif est inadmissible. Tous les enfants violent les règles, mais il faut leur faire comprendre que l’initiation du conflit sera toujours interdite. © akelton07
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Dans mon enfance, je chantais dans un chœur. Ça me rendait heureuse, je répétais de nouvelles chansons à la maison. Néanmoins, j’ai cessé de le faire, parce que tous les jours, j’étais sujette aux moqueries à répétition de la part de mes parents et de ma sœur. Aujourd’hui, je n’ose chanter que toute seule chez moi ou avec mes amis pour rire. Un jour, il y a eu un épisode avec ma sœur qui m’a beaucoup blessée. Elle m’a demandé pourquoi j’avais abandonné la chorale dans mon enfance. J’ai failli me mettre à pleurer et lui faire des reproches.
Les petites blagues paraissent drôles à ceux qui les font, tandis que les victimes des moqueries en souffrent beaucoup. Surtout s’il s’agit de l’harcèlement moral au sein de la famille. © bunnyrut
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Ma mère a toujours fouillé dans mes affaires et même dans la poubelle sous prétexte que je risquais de jeter et perdre quelque chose d’utile. Dans l’enfance, elle trouvait mes récits, mes dessins et faisait des critiques blessantes sur mes œuvres. Je suis devenue adulte, mais le contrôle excessif n’a pas pris fin. Un jour, j’ai vu qu’elle violait mon intimité sans gêne. Elle fouillait dans mon tiroir à sous-vêtements et a trouvé un paquet de préservatifs. Je travaille dans le même bureau que ma mère. Et elle a tout raconté à nos collègues, j’ai été accusée d’avoir des relations sexuelles avec mon petit ami. J’avais 25 ans à ce moment-là. J’ai déménagé peu après.
J’ai 31 ans. J’apprends encore à respecter les limites de la vie privée de mon petit ami, je deviens de plus en plus tolérante. Avant, j’avais besoin de le contrôler, je fouillais dans ses affaires et jetais à la poubelle tout ce qui ne me plaisait pas. © dick_chiggers
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Les parents aiment leurs enfants et veulent faire d’eux des leaders. C’est naturel. Mais parfois, les enfants commencent à se considérer comme des vainqueurs dans toutes les situations de la vie. Cette conviction peut être dangereuse. Les enfants doivent apprendre à survivre à la déception, parce que dans la vie réelle il est impossible de gagner à chaque fois. Il vaut mieux aider les enfants à gérer leur déception et à survivre au stress. Ces mécanismes seront utiles dans leur vie adulte. © supersonic-hedgehog
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Les enfants ne doivent pas être au courant de tous les problèmes des adultes. Mes parents se querellaient toujours en ma présence. J’étais témoin de leurs conflits et de leurs disputes. Je n’arrivais pas à m’endormir, parce que j’avais peur que des policiers viennent nous déloger de chez nous. Mes parents m’avaient dit qu’on risquait de perdre notre logement. Ce problème ne me regardait pas, je n’étais qu’un enfant. © EmpressBoaHanc0ck
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Mes parents aimaient appeler chacune de mes amies “ta fiancée”. Ça me gênait. J’ai grandi, mais je n’arrive toujours pas à vaincre ma timidité avec les filles. © GoldenBruhtado
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Mes parents me disaient toujours “Finis ton assiette”. J’ai commencé à ne plus savoir gérer ma faim et à trop manger. Il m’a fallu beaucoup d’années pour me débarrasser de mes troubles alimentaires et réussir à perdre du poids. © bearssuperfan
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Il ne faut pas forcer son enfant à entrer en contact avec d’autres personnes s’il n’en a pas envie. S’il est timide avec son oncle Michel, il n’est pas obligé de l’embrasser. Si sa tante Léa lui fait peur, il n’est pas obligé de lui parler. Il faut que les enfants soient gentils et aimables avec tout le monde. Mais leur sécurité émotionnelle est plus importante que les attentes des autres. © ingloriousbaxtr
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Mes parents se moquaient de la justice. Le calme et le silence étaient les éléments les plus importants de leur vie. Ils répétaient souvent : “La vie est injuste”. Je les croyais et ne leur demandais presque jamais de l’aide. Un jour, je me suis retrouvé coincé dans la clôture, je n’ai pas appelé au secours, je suis resté là quelques heures. C’est l’histoire préférée de mes parents. Ils la racontent à tous leurs amis pour mettre en évidence mon obéissance excessive. Ils ne comprennent pas que j’avais trop peur d’eux pour crier et appeler à l’aide.
Quand je suis devenu adulte, j’ai partagé mes émotions avec mes parents. Ils ont dit que je n’avais pas bien compris leurs intentions. Mais si, j’avais tout bien compris. Ils voulaient un enfant tranquille. Les autres aspects ne les intéressaient pas. © chronically_varelse
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Quand j’avais 7 ans, j’ai fait un cauchemar que j’ai partagé avec maman. Je lui ai demandé de garder mon rêve secret. Le lendemain, pendant le déjeuner, ma mère a raconté mon cauchemar à tout le monde. Je ne lui ai plus jamais confié de secrets. © dikklejuice
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Un jour, mes parents m’ont fait asseoir à table et écrire une lettre à mon petit ami. J’ai dû écrire que je ne voulais plus le voir. Je l’ai fait en pleurant toutes les larmes de mon corps. Quand j’ai fini, ils ont publié cette lettre sur Facebook. Ils trouvaient ça normal. © M0u53trap
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Quand j’étais à l’école primaire, j’ai réussi à obtenir une bourse pour mes études à l’école de musique. J’ai pris quelques cours et papa a dit qu’ils coûtaient trop cher pour nous. Je ne savais pas que tous les cours étaient déjà payés. Mon père a décidé, sans me demander mon avis, que les études au conservatoire de musique n’étaient pas faites pour moi. © Didgaridildo
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“Les garçons ne pleurent pas”. Cette citation semble anodine, mais les garçons qui commencent à cacher leur tristesse perdent le contact avec leurs émotions et leurs besoins. Et plus tard, il leur est difficile d’avoir des relations amoureuses. © Mylegsarenumb
Selon toi, les erreurs d’éducation empêchent-elles les enfants de réussir dans la vie ?
Faut-il laisser ses blessures d’enfance dans le passé ?
N’hésite pas à nous donner ton avis dans les commentaires !
Commentaires
Nice
Certaines mères sont des monstres d'égoïsme et de méchanceté. La mienne a réduit à néant mes espoirs, mes envies et mon futur. Elle a détruit ma confiance en moi mon este personnelle et m'a bourrée de complexes. Maintenant encore à 63 ans je compense toujours mon mal être avec le sucre.