14 Personnes qui n’ont pas eu de chance avec leurs patrons

Gens
Il y a 3 ans

Il existe différents types de patrons. Certains ont la capacité d’organiser le processus de travail de manière efficace et d’amener l’entreprise à la réussite. D’autres sont tellement “forts” qu’à cause de leurs actions, leur société peut aller jusqu’à mettre la clef sous la porte.

Chez Sympa, nous étions très étonnés de lire certaines histoires où les patrons ont pris des décisions plus que douteuses. Nous espérons que ces exemples sont plus des exceptions, et non pas la tendance générale.

  • C’était à la fin des années 2000. Un collègue de bureau a démissionné. Cela faisait très longtemps que l’on attendait son remplacement. J’ai fini par appeler le service RH :
    — Quand est-ce que son remplaçant va arriver ?
    — Pour le moment, je n’ai pas de bonnes nouvelles à vous annoncer. Personne ne propose le poste à ses amis.
    — Je ne comprends pas. Quels amis ?
    — Dans notre entreprise, nous suivons une méthode spéciale : les salariés peuvent parrainer leurs amis ou leurs connaissances. S’ils postulent, le salarié en question touche une prime. Nous ne publions pas d’annonces, et nous ne faisons pas d’appel aux cabinets de recrutement, car cela coûte trop cher.
    — Mais j’ai déjà vu des annonces pour les postes dans les autres filiales.
    — C’est leur problème, s’ils ne sont pas efficaces. Nous allons trouver le bon candidat nous-mêmes, nous n’avons pas besoin de payer quelqu’un pour le faire. © qwer2004 / Pikabu

  • Notre chef adore les nouveautés et essaie tout le temps “d’améliorer” le processus du travail. Soit il installe un nouveau logiciel, alors que l’ancien nous convenait très bien, soit il instaure des pauses sportives de trente minutes au milieu de la journée. Récemment, il a lu quelque part que certaines entreprises choisissent le meilleur salarié à la fin de chaque mois. Du coup, il a décidé de faire pareil chez nous, sauf, qu’il a rajouté la nomination “Le pire salarié du mois”. Étant donné que tout le monde a des rythmes différents et des tâches très spécifiques, nous avons mis en place une formule qui prenait en compte tous les éléments : les heures travaillées, les ressources dépensées, etc. Finalement, les travailleurs les plus efficaces étaient le comptable et la femme de ménage, et le moins efficace était le patron. “Bizarrement”, cette tradition n’a pas fait long feu chez nous. C’est dommage, car je n’avais jamais vu notre femme de ménage si heureuse que ce jour-là. © “Палата № 6” / Vk

  • J’avais un patron qui prenait la série “The Office” pour un documentaire, et il appliquait les conseils de management qu’il a vus dans cette série, dans la vraie vie. Il a décidé que la raison pour laquelle nous avions du mal à respecter les délais était l’absence d’une liste très détaillée des tâches à effectuer (la vraie raison étant le manque de personnel). Toutefois, vu qu’il n’avait aucune expérience dans nos métiers, il ne savait par où commencer. Du coup, il m’a demandé d’écrire cette liste, ce que j’ai fait, mais il n’était pas satisfait du résultat, et m’a demandé de la refaire. J’ai pris la version qui était déjà en place il y a quelques années, et j’ai changé la mise en page. Il a dit que c’était la solution parfaite, et que très bientôt nous verrons les premières améliorations grâce à son "idée innovante".​​​​​ © bears-bub / Reddit

  • Une salariée a remarqué que nous ne recevions plus de constats de non-conformité. Nous avons appelé plusieurs services pour connaître la raison. Ils nous ont expliqué qu’ils avaient reçu un document stipulant que ces constats n’étaient plus obligatoires. J’ai demandé qu’on me transfère ce document, et j’ai lu que l’envoi des constats de non-conformité allait être automatisé plus tard, et qu’il y aura une communication dédiée dès la mise en place de ce nouveau dispositif. J’ai appelé un des responsables pour lui expliquer la situation, et j’ai demandé de réinstaurer l’ancienne procédure, en attendant l’automatisation. Une heure plus tard, il m’a rappelé pour dire : “Nous ne pouvons pas remettre l’ancienne procédure d’envoi manuel en place. En tout cas, pas dans l’immédiat”. Lorsque j’ai demandé pourquoi, il m’a répondu : “Visiblement, nous n’avons pas bien lu la nouvelle instruction, et nous avons déjà licencié le personnel qui faisait les constats”. © SZickov / Pikabu
  • Dans l’entreprise où je travaillais avant, la direction a décidé de nous imposer des réunions pendant la pause déjeuner, et ce, environ trois fois par semaine. Ceci n’était pas considéré comme des heures supplémentaires, car l’entreprise nous fournissait le repas. Je me suis dit : “Normalement, je devrais être payé 30 euros par heure supplémentaire, et vous comptez vous en tirer en me payant un sandwich à trois euros ?” J’ai noté toutes les heures que j’ai faites pendant la pause déjeuner, et j’ai posé ma démission. Ensuite, j’ai saisi les prud’hommes et j’ai réclamé cinq mille euros de compensation. Lorsque cela a été accordé, j’ai envoyé un e-mail avec la marche à suivre à tous mes collègues. © chiliedogg / Reddit

  • J’ai postulé pour un nouveau travail, et on m’a envoyé un test qui était complétement incompréhensible. Je me suis pris la tête à essayer d’y répondre pendant une semaine, mais j’ai fini par abandonner. J’ai écrit à l’employeur que je ne passerai pas son test. Deux heures plus tard, on m’a répondu que c’était la réaction qu’ils attendaient, et que tous les gens “normaux” ont également refusé.© “Палата № 6” / Vk

  • Dans mon ancienne boîte nous avions une pointeuse. Si quelqu’un arrivait en retard plusieurs fois par mois, il avait une déduction de salaire. En revanche, les heures supplémentaires n’étaient pas payées. Une collègue, qui était la responsable du service logistique, arrivait souvent en retard, mais finissait sa journée plus tard, souvent à cause des nombreuses réunions. Elle a demandé de ne pas tenir compte de ses retards du matin, mais la directrice a refusé. Du coup, le lendemain, à 17 heures précises, ma collègue s’est levée au milieu d’une réunion et elle s’est dirigée vers la porte de sortie. En voyant le regard étonné de la directrice, elle a expliqué : “Ma journée de travail est terminée”. Elle n’a plus jamais été pénalisée pour les retards. © Любовь / AdMe

  • J’ai toujours eu de la chance avec les patrons. Mais tout a changé lorsque j’ai été embauché dans un lycée privé. À chaque fois que nous, les profs, avions une charge de travail bien trop importante, nous passions des heures et des heures, non pas à faire ce travail, mais à écrire des rapports pour expliquer pourquoi nous n’y arrivions pas. © Ansy / AdMe

  • Je travaille dans une entreprise qui existe depuis très longtemps, et qui n’a pas beaucoup évolué depuis le jour de sa création. Nous avons une vieille tradition d’offrir un cadeau à chaque salarié le jour de son anniversaire.
    Pour ce faire, “la victime” est appelée au service RH, quelqu’un fait un discours pour lui souhaiter un bon anniversaire, et ensuite, le responsable de son service, tel un vrai Père Noël, va chercher son cadeau dans l’armoire spécialement prévue à cet effet. Un jour, nous fêtions l’anniversaire d’une employée de l’entrepôt, une femme très discrète et très réservée. D’habitude, les gens de l’entrepôt reçoivent leurs cadeaux directement sur leur lieu de travail, mais cette fois-ci, on l’a appelée au service RH, et dans une ambiance très solennelle, on lui a offert .... une tasse.
    Lorsque la salariée, toute rouge, tellement elle était embarrassée par ce trop-plein d’attention, est revenue à l’entrepôt, son responsable lui a demandé : “Mais pourquoi est-ce qu’ils vous ont offert un si petit truc ? Normalement, pour les jubilés, tout le monde reçoit une prime exceptionnelle”. La salariée a rappelé le service RH. Ils ont vérifié sa date de naissance, et en grognant, lui ont proposé de repasser pour récupérer son chèque. Cinq minutes plus tard, ils ont rappelé pour préciser : “N’oubliez pas de nous rendre la tasse”. © LeraValerrra / Pikabu

  • La direction nous a promis une prime exceptionnelle pour Noël. Pendant la soirée d’entreprise, nous étions tous très excités, car nous n’attendions que cette annonce. La soirée étant presque terminée, le plus courageux a demandé : “Nous avons passé une année très compliquée, nous voudrions savoir si nous avions une prime”. Le patron nous a regardés avec de gros yeux, et il a répondu : “Mais de quelle prime parlez-vous ? J’ai utilisé cet argent pour payer vos salaires”. © Варвара Гнедая / Facebook

  • Je travaille par roulement, parfois également le week-end. Je reçois les missions à effectuer le vendredi et le samedi en avance. Un vendredi, j’ai tout mis en œuvre afin de bien avancer sur les missions des deux jours, pour qu’il ne me reste qu’à vérifier les données et tout mettre au propre le samedi. Le lendemain, ma responsable m’a appelé pour me dire : “J’ai regardé dans le système, et je vois que tu as fait tout le travail en une journée, et aujourd’hui, tu n’as rien à faire, n’est-ce pas ?” J’ai répondu : “Comment ça, rien à faire ? Je dois tout vérifier, mettre les résultats au propre. En effet, j’ai fait le plus du travail hier, pour que je puisse finir tranquillement aujourd’hui. Quelle différence cela peut faire ?” Sa réponse m’a tué : “Non, non, ça ne va pas du tout. Tu ne passeras pas la journée à ne rien faire ! Voici tes nouvelles missions à effectuer pour aujourd’hui”. © Igor Gulchenko / Facebook

  • Aujourd’hui, j’ai vécu le licenciement le plus étrange de toute ma vie. Après cinq jours de travail, on m’a annoncé que je n’avais pas le bon type de personnalité. Notre patronne se croyait être une pro en psychologie, et elle faisait le recrutement se basant sur les traits de caractères des personnes. Lors de l’entretien d’embauche, elle a fait une erreur avec moi, mais maintenant qu’elle l’a réalisé, elle souhaitait me licencier sans indemnités, ni salaire. Sur le chemin de retour, je me suis dit : “Encore heureux qu’elle l’ait compris au bout de cinq jours, et non pas à la fin du mois”. © “Палата № 6” / Vk

  • Je travaillais dans une entreprise qui produisait et commercialisait des fournitures. Nous avions un très bon informaticien qui devait développer un programme spécifique pour enregistrer les commandes des clients et les transférer au service logistique. Le futur de toute la société dépendait de ce programme. Petite précision : nous n’avions pas de connexion internet dans les bureaux. La directrice a licencié l’informaticien, en expliquant : “À chaque fois que je rentrais dans son bureau, il était en train de lire un bouquin au lieu de travailler”. Le bouquin en question était un manuel sur Visual Basic, un langage de programmation, qu’il fallait utiliser pour écrire le nouveau programme. © sh5273 / Pikabu

  • Je travaillais pour une entreprise qui produisait des équipements aéronautiques. La direction a embauché un nouveau responsable de pôle, qui était extrêmement imbu de sa personne. Il a mis en place deux réunions de trente minutes par jour afin de discuter de nos résultats. Je pense que c’était sa plus grosse erreur. Notre temps de travail étant très cher, cela a coûté presque dix mille euros par jour à l’entreprise. © Stormchaserelite13 / Reddit

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