17 exemples de logique enfantine qui est meilleure que la tienne

Éducation
Il y a 5 ans

Les personnes qui côtoient beaucoup les enfants savent par expérience que l’intellect des enfants peut parfois expliquer les mystères les plus profonds de l’univers, poussant les adultes dans un état de confusion totale avec leur logique infaillible.

Sympa a trouvé différentes histoires en surfant sur Internet qui vont te montrer le monde si simple mais pourtant si imprédictible de l’enfance.

  • À l’école primaire, un professeur de musique a emprunté mon carnet de chansons enfantines et ne me l’a pas rendu. Je suis allée la voir presque tous les jours pendant plusieurs mois, et elle disait toujours qu’elle avait oublié le livre à la maison.

    En fin de compte, le professeur me l’a rendu et s’est plainte à mes parents de mon acharnement. Après cela, ma mère m’a dit que si je réussissais à convaincre une de ses amies de rembourser l’argent qu’elle lui devait, je pourrais le garder. Je suis allée la voir tout l’été, jusqu’à ce que j’atteigne mon but.

  • Pédiatre :

    — Arthur, combien d’arbres vois-tu sur cette photo ?

    Le garçon, la voix pleine de lassitude :

    — Je les vois tous.

  • Une fois, quand nous étions enfants, mon cousin et moi avons passé nos vacances d’été dans une maison de campagne. J’avais 6 ans et il en avait 9. J’ai trouvé une carotte qui ressemblait à un petit bonhomme et j’ai commencé à jouer avec. Mon cousin en voulait une comme la mienne, mais il n’en trouvait pas, et il était jaloux. Puis, ce petit malin a commencé à jeter sa carotte sur le toit de la maison, qui rebondissait et retombait entre ses mains. J’ai trouvé ce jeu super et j’ai décidé, à mon tour, de jeter mon petit bonhomme-carotte sur le toit, mais il n’a pas rebondi ! Qu’est-ce que j’ai pleuré ! Depuis, je déteste mon cousin et je suis tombé amoureux de la physique.
  • Ma fille m’a dit qu’il nous fallait d’urgence deux enfants de plus, parce que cela nous permettrait d’avoir des déjeuners gratuits à l’école. Quelle économie de fou ! URGENT, MAMAN, URGENT !
  • Quand j’étais à la maternelle, on faisait un spectacle et je voulais être un renard, mais où est-ce que je pouvais trouver un costume ? Je devais le réaliser moi-même... C’était facile de dessiner et de couper un masque, mais où trouver la queue ? Et là, j’ai subitement eu une idée géniale : j’ai découpé une manche du manteau de fourrure de ma mère.
  • Quand j’étais petite, j’avais mes idées sur le marquage au sol : si la ligne était pointillée, c’était parce qu’ils avaient économisé de la peinture ; si c’était une ligne entière, tout allait bien ; et si c’étaient deux lignes entières, c’était parce que l’une d’elles s’effaçait rapidement et le monsieur qui était chargé du traçage, en faisait deux en même temps pour ne pas avoir à les refaire. Maintenant je m’en souviens et je me dis : c’était tout à fait logique !
  • Les parents s’appellent souvent “maman” et “papa” pour que leurs enfants apprennent à dire la même chose. Mon oncle et ma tante ont fait la même chose, même si leur fils était suffisamment âgé. Cette habitude me dérangeait beaucoup, et j’ai décidé de les faire arrêter. Je leur ai dit que chaque fois qu’ils ne s’appelaient pas par leur prénom, ils devaient me donner 10 centimes d’euro. J’ai donc amassé entre 1€ et 2€ par jour, et j’étais la fille la plus cool du quartier : je me payais mes propres bonbons. Bien que le programme n’ait duré que trois mois, ils se sont vite habitués à s’appeler par leur prénom.
  • Ma fille a 9 ans. Avec mon mari, nous prévoyons d’avoir un autre enfant dans quelques années, et elle le sait. Une fois, nous passions à côté d’une crèche ensemble, et elle m’a dit : “Maman, nous avons un bon quartier, les magasins sont proches, il y a une crèche pour le bébé à proximité, il y a une école à proximité, il y a un orphelinat à proximité...”.
  • Quand j’étais gamin, j’avais très peur du noir, et quand j’avais 3 ans, je me suis dit que j’allais faire des bruits désagréables si j’étais seul dans la pièce, pour que les monstres pensent que j’étais l’un des leurs. Cela a dû être très intrigant pour ma mère, qui dormait dans la chambre sans que je m’en rende compte, de se réveiller et de me voir courir partout en agitant les bras et en poussant d’affreux hurlements.
  • Mon fils a 3 ans. “Gabriel, range tes jouets. Papa va bientôt rentrer, et s’il voit ce désastre, il sera très triste. Que va-t-on alors faire?”. Mon fils, sans hésitation aucune, a répondu : “Nous dirons: ’Ne pleure pas, papa...’”.
  • Quand j’avais 5 ans, j’ai passé l’été chez mes grands-parents. Un voisin, Monsieur Pierre, réparait notre grange, et il a commencé à m’embêter en me disant qu’il allait construire la porte sur le toit. Je suis devenu très triste et je lui ai demandé, et même supplié de construire la porte plus bas, pour que je puisse y accéder, mais il a continué à me taquiner en me disant que c’était impossible. Quand il est parti, j’ai pris une petite scie, découpé l’échelle avec précaution, enlevé la sciure et couvert la marque de coupe. Le matin, le voisin est monté sur l’échelle mais elle s’est cassée et il est tombé brutalement. On m’a longtemps grondé, mais M. Pierre ne s’est plus jamais foutu de moi.
  • Quand j’étais petite, j’avais une super professeur d’anglais que j’adorais et qui était jeune et très jolie. Le jour de son anniversaire, je lui ai souhaité du fond de mon âme qu’après sa mort elle aille au ciel et non en enfer. Évidemment, mes parents m’ont expliqué que je devais souhaiter aux gens quelque chose d’un peu différent à l’avenir. J’espère qu’elle n’a pas été trop offensée.
  • Une fois, j’étais dans une voiture et mon fils (à l’époque, il avait environ 4 ans) était assis sur le siège arrière. J’ai oublié sa présence et j’ai donné un grand coup de volant pour tourner. Puis j’ai entendu sa petite voix derrière : “Papa, pourquoi tu m’as jeté sur le côté ?” J’ai répondu : “C’est la force centrifuge, mon chéri, tu apprendras ça bientôt à l’école.” Puis j’ai freiné brusquement, et mon fils m’a demandé à nouveau pourquoi il avait maintenant été propulsé en avant et je lui ai parlé de l’énergie cinétique. Un autre jour, nous avons repris la voiture avec lui et ses grands-parents. J’ai de nouveau tourné un peu vite et mon beau-père a râlé. Mon petit lui a alors dit :

    — Papi, ne râle pas, c’est la force centrifuge, tu aurais dû faire attention à l’école. Et prépare-toi, nous allons être touchés par l’énergie cinétique.

    Mon beau-père est resté en état de choc.

  • J’ai 21 ans et j’ai récemment obtenu mon diplôme universitaire. Mais je réalise que je ne me suis pas autant amusée que mon frangin de 12 ans : dans son carnet de communication, il y avait le commentaire suivant : “Il a vendu un ami à un camarade de classe pour 10 euros.”
  • J’avais 5 ans. Papa était très malade et maman était sortie. Il avait besoin d’une injection intramusculaire urgente. Aucun voisin n’était à la maison, alors il m’a demandé de la lui faire. Il a passé beaucoup de temps à me convaincre qu’il n’y avait rien à craindre et que ça ne ferait pas mal. Puis il a passé une heure à m’expliquer comment procéder. Il a ensuite passé une demi-heure de plus à me donner du courage. Et je l’ai fait !

    Mon père, en frottant la zone où il a reçu l’injection, a dit : “Tu vois, ma chérie, il n’y a pas de quoi avoir peur !” J’ai répondu : “Bien sûr, papa, pourquoi aurais-je peur si je fermais les yeux quand je l’ai fait ? ” Ça fait 25 ans et il me le rappelle encore.

  • Quand ma fille avait 4 ans, on lui a fait faire un passeport. Je suis allée le chercher et je suis rentrée à la maison. J’ai dit : “Ma fille, c’est ton premier vrai document !” Et elle a eu peur : “Je dois travailler maintenant ?”
  • J’apprenais à mon fils de 5 ans à ne pas accepter de bonbons, de biscuits de la part d’étrangers. Je lui ai dit de refuser poliment, disant que sa mère ne voulait pas qu’il les accepte parce qu’il était allergique aux bonbons. Nous répétions, il comprenait tout, mais avait du mal à se rappeler du mot “allergie” ; en plus il avait du mal à prononcer la lettre “R”. Quelques jours plus tard, j’ai décidé de faire un test, et nous avons fait semblant que j’étais un étranger. J’ai dit : “Prends le caramel mon petit ! Prends-le, ne sois pas timide !” Et il a dit : “Non, merci ! Je ne peux pas, ma mère ne me laisse pas faire ! Je suis un herbivore !” Il n’arrivait pas à se rappeler du mot “allergie”.

Toi aussi, tu as déjà été témoin de l’ingéniosité d’enfants ? De quoi s’agissait-il ? Raconte-nous dans la section des commentaires ci-dessous !

Photo de couverture PivBear / Pikabu

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