J’ai visité 70 pays et j’ai compris ce qu’il ne faut jamais emporter en voyage (et j’ai aussi découvert les 20 trucs dont on ne peut pas se passer)

Salut tout le monde ! Je m’appelle Pasha et les dix dernières années, j’ai visité 70 pays différents. Toutes ces expériences m’ont permis d’apprendre quelles étaient les choses dont on avait absolument besoin à l’étranger, et quelles sont celles qu’au contraire, il vaut mieux laisser à la maison, car elles ne feront que t’encombrer inutilement.

Ce récit réservé aux lecteurs de Sympa te permettra de voyager léger, confortablement et de savoir exactement de combien de bagages tu auras besoin pour voyager dans n’importe quel endroit de la planète.

Comment tout a commencé

Pour mes premiers voyages, j’avais emporté une énorme valise à roulettes, une tonne de guides touristiques et de cartes, et un tas de petits trucs que je prenais " au cas où ".

Je me souviens de la catastrophe de mon premier vol avec Ryanair, une compagnie aérienne bon marché : j’ai été obligé de jeter une partie de mes affaires à la poubelle, car le poids de mon bagage dépassait la norme autorisée ! Et l’incident le plus ridicule m’est arrivé quand j’ai eu l’idée de faire un voyage à vélo, de Malaga (Espagne) à Turku (Finlande), sans avoir la moindre idée de ce qui m’attendait pour un trajet pareil.

J’avais un sac à dos de 30 kg et 5000 km de route devant moi. Dès le premier jour, les choses ne se sont pas passées comme prévu. D’abord, j’ai failli m’amputer le doigt avec un couteau utilisé pour réparer mon vélo, cassé dans l’avion. Ensuite, avant même d’avoir achevé le premier kilomètre de mon voyage, j’ai cassé le rétroviseur sur le guidon, et mon smartphone est tombé de sa fixation sur la route. En même pas une seconde, il a été écrasé par un camion. C’était ce qui était censé me servir de GPS...

Le pire, c’est que mon sac à dos était tellement lourd pour mes épaules, qu’à la fin de mon premier jour, j’avais un nerf coincé, mes doigts tordus et je n’arrivais plus à faire quoi que ce soit. Le lendemain, j’ai jeté sans regret la moitié de mes affaires dans la poubelle et j’ai commencé à noter les choses dont on a vraiment besoin loin de la maison.

Ça m’a pris 10 ans et 230 000 km autour du globe pour pouvoir établir cette liste définitivement et vérifier son bien-fondé. Il n’y a que 20 éléments dans cette liste : ce sont des affaires qui ne pèsent pas plus de 5 kg tout compris et peuvent rentrer dans un petit sac à dos.

20. Un petit sac porté épaule, et non un sac banane

Si tu ne veux pas ressembler à un touriste typique, ne prends pas un sac banane. Il n’est pas toujours pratique, surtout pendant de longues heures de voyage en avion. La meilleure alternative, c’est un sac porté épaule, de la taille d’une demi-feuille A4. Il va facilement contenir tous tes gadgets, papiers et argent.

Si tu t’inquiètes beaucoup pour la sécurité de ton argent, tu peux le mettre sous ta semelle ou dans ta casquette. Mais ne le fais pas quand tu passes les contrôles à l’aéroport, sinon les douaniers vont croire que tu leur caches tes affaires personnelles.

19. Des surchaussures, et non des tongs

La question de l’hygiène est parfois très importante, surtout si tu voyages en Asie ou en Amérique du Sud. Souvent, l’état des lieux dans les hôtels ou auberges de jeunesse n’a rien à voir avec les photos sur Internet, et les douches et les baignoires peuvent être assez — très — sales.

Pour ne pas emmener partout des tongs mouillées et lourdes, prends plutôt plusieurs paires de surchaussures. C’est super pratique pour prendre une douche et on peut les jeter après. Tu peux aussi utiliser les surchaussures comme des chaussettes, si tes chaussures ont été accidentellement mouillées (en cas d’urgence, pour marcher 1-2 heures dans les flaques d’eau).

En revanche, à la plage c’est mieux de porter des chaussures aquatiques, au lieu de tongs ou de chaussures ouvertes. Tu pourras te baigner sans avoir peur de marcher sur une pierre coupante, un oursin ou autres saletés. Les chaussures aquatiques peuvent aussi servir de paire de chaussures supplémentaires dans les petits voyages.

18. Des boules Quiès, et non un coussin nuque

Si tu veux dormir dans l’avion ou dans le bus, tu auras plutôt besoin de boules Quiès (de préférence plusieurs paires et avec des ficelles, car sinon elles ont tendance à se perdre). Je les utilise pour ne plus entendre le bourdonnement fatiguant des moteurs et le bruit des voix trop fortes des autres passagers.

Peu importe la performance de ton coussin ergonomique, tu n’arriveras pas à dormir avec, à moins que tu sois vraiment super bien placé. Dans l’avion et dans le bus, il est plus facile de dormir côté fenêtre, car il y a un peu plus d’espace pour bouger, plutôt que sur les sièges côté rangées. Un coussin normal de forme rectangulaire, improvisé avec ton pull et ton foulard, fera aussi l’affaire.

17. Un antiseptique liquide, et pas des lingettes humides

Si tu tiens à ton hygiène durant tes déplacements, il t’est sans doute déjà arrivé de te retrouver avec des lingettes humides utilisées dont tu ne savais pas quoi faire : où les jeter ? Alors, tu as dû les mettre dans ton sac, les oublier, et finalement, tu retrouves ton passeport mouillé, avec tous les timbres douaniers décolorés.

Voilà pourquoi, dans tous les cas, un antiseptique liquide pour les mains est plus efficace. Un produit identique pour les pieds est aussi très utile, car pendant le voyage, tu vas marcher beaucoup plus que d’habitude.

16. Des essuie-tout, et non une serviette

Parfois, il y a un problème avec le papier toilette et les essuie-tout dans certains pays, en dehors de l’Europe. Il vaut donc mieux prendre quelques paquets de mouchoirs ou un rouleau d’essuie-tout, et d’en acheter plus tard sur place si besoin.

Une serviette en tissu prend beaucoup de place, met du temps à sécher, et en plus, tu en trouveras dans n’importe quel hôtel ou auberge de jeunesse. D’ailleurs, pendant le voyage, il est plus hygiénique de s’essuyer le visage avec des mouchoirs qu’avec une serviette en tissu.

15. Des monnaies, et non des souvenirs

" C’est une pièce de monnaie de mon nouvel ami. Il a dit que je ne pourrai rien acheter avec, quand je serai en Russie. Il voulait l’utiliser pour faire un vœu, mais finalement, il me l’a offerte. C’est tout ce qu’il avait sur lui. Je pense que c’est surtout l’attention qui compte ".

Un jour, j’étais dans le bus avec une très charmante Mexicaine, nous avons parlé et échangé nos contacts. J’ai voulu lui offrir quelque chose comme souvenir, et je n’avais que 50 kopecks dans mon porte-monnaie. Je lui ai dit que c’était un porte-bonheur. Ça l’a tellement étonnée et cela lui a fait tellement plaisir, qu’elle a même parlé de ce cadeau “généreux” sur son Instagram. Voilà ce que peuvent faire 50 kopecks à des milliers de kilomètres de la Russie !

Ça peut paraître bizarre, mais prenez quelques pièces de monnaie en voyage. Tout d’abord, c’est facile de les utiliser dans les différents lieux touristiques, pour faire un vœu ou bien pour suivre des superstitions locales. Ça peut être aussi un bon petit souvenir pour tout étranger que vous rencontrerez pendant le voyage. La preuve...

14. Des lunettes de soleil avec protection S4

En ce qui concerne les lunettes de soleil, privilégie plutôt une haute protection contre le soleil que la beauté de la monture. Le mieux, c’est d’acheter cet accessoire utile avec le degré de protection UV 400 ou S4. Tu auras besoin de lunettes même en hiver, car la neige reflète très fort les rayons de soleil, et tes yeux le sentiront tout de suite. Au pire, tu peux prendre deux paires de lunettes : une belle, pour les photos, et une, moins glamour, mais avec une haute protection contre les rayons UV.

13. Une paire de jeans vieux mais confortables, et non une dizaine de neufs à la mode

Le jeans, c’est vraiment le vêtement le plus pratique en voyage, mais tu n’as absolument pas besoin de prendre plusieurs paires et de changer tous les jours. Un seul, ça suffira amplement. Tu peux prendre un vieux jeans, un peu abimé, que tu n’hésiteras pas à jeter pour en acheter un nouveau, si besoin. Les couleurs foncées sont les plus faciles à entretenir. C’est mieux d’éviter les modèles “déchirés” et avec un tas de décoration, car dans certains lieux touristiques, on peut t’interdire l’accès à cause de ça.

Si l’objectif de ton voyage est de faire un tas de photos en tenues différentes et de recevoir des milliers de “J’aime” sur les réseaux sociaux, alors avant de mettre toute ta garde-robe dans ta valise, fais une liste des lieux que tu vas vouloir visiter. Ensuite, tu sauras donc combien de tenues différentes il te faudra environ (tu peux même les étaler par terre ou sur le lit, pour mieux voir ce que ça donne).

Autre point important avant de boucler ta valise : regarde la météo, car elle peut influencer fortement tes projets créatifs pour ta séance photo. Une fois que tu auras pris en compte les conditions météorologiques, tu laisseras sans doute à la maison pile la moitié des vêtements que tu avais d’abord sélectionnés.

12. Des sous-vêtements de sport, et non des marques à la mode

Rappelle-toi qu’en voyageant, tu vas beaucoup bouger, transpirer, et donc les jolis sous-vêtements serrés à la mode vont très vite te gêner. En plus, tu vas devoir réfléchir à la manière dont tu vas laver tes sous-vêtements, car si tu prends autant de paires de caleçons qu’il y a de jours dans ton voyage, cela va occuper la moitié de ton sac à dos, même s’il s’agit de mini-caleçons.

Mieux vaut se préparer à l’avance et acheter des sous-vêtements de sport (ce qui ne leur interdit d’ailleurs pas d’être beaux, et ce qui est le plus important, confortables). En plus, il est facile de les laver et ils sèchent en une seule nuit, même sans radiateur.

11. Des chaussettes jetables

Ce que tu peux emporter en quantité, ce sont les chaussettes : et prends-en des vieilles que tu comptais jeter depuis longtemps. Malheureusement, cet élément de notre garde-robe met beaucoup de temps à sécher, même si tu es sous le soleil brûlant de l’Espagne (ça m’est arrivé, je les séchais directement sur mon sac à dos, pendant les longues randonnées). Donc il est plus facile de les jeter et d’en acheter de nouvelles (ce n’est pas la dépense la plus coûteuse). Le meilleur choix, ce sont les socquettes, car elles prennent le minimum de place.

La méthode la plus pratique pour les ranger, c’est de les classer par catégories ou par jour, et de les mettre ensuite dans des sacs plastiques du type Ziploc, avec fermeture. Ainsi, tes vêtements ne vont pas se mouiller et cela prendra moins de place. En plus, en passant le contrôle douanier, tu n’auras pas à tout déballer de ton sac à dos et exposer toutes tes affaires puisqu’elles seront soigneusement rangées dans des sacs.

10. Des shorts ou un pantalon de sport

Tu peux avoir besoin de shorts non seulement pour la plage mais aussi pour remplacer un pyjama. Surtout si tu séjournes chez quelqu’un ou dans une auberge de jeunesse bondée, où tu ne pourras pas te balader en sous-vêtements. Un jogging peut aussi te servir comme paire de pantalons supplémentaire ou bien comme vêtement chaud en cas de besoin : il te sera toujours utile.

9. Une veste avec une capuche, et non un parapluie

Une veste légère sera toujours utile, même si tu vas dans les pays chauds. Tu peux t’en servir comme couverture ou oreiller dans l’avion. Et elle te protégera contre les intempéries beaucoup mieux qu’un lourd parapluie, qui peut se casser ou être déformé par le vent. Les meilleures vestes sont celles que choisissent les navigateurs professionnels : coupe-vent et anti-humidité. Elles résistent à presque tous les climats difficiles

8. Du synthétique, et non du coton

Parce qu’ils sont plus pratiques et compacts, il est préférable de prendre des vêtements synthétiques. Ils absorbent moins l’humidité et les mauvaises odeurs, sèchent plus vite et ne se froissent pas trop. Pour que les t-shirts et les pulls prennent le minimum de place, il faut les rouler puis les fixer avec des élastiques.

Si tu vas dans les endroits où le soleil brille tout le temps, investis dans des t-shirts et pulls anti-UV. On voit souvent ce type de vêtements sur les surfeurs, par exemple, qui passent beaucoup de temps dans l’eau sous le soleil brûlant.

7. Une vieille carte bancaire et un scan de ton passeport

Avant le voyage, envoie-toi sur ton mail les scans de ton passeport, papiers d’assurance et autres informations importantes. Ainsi, si tu perds quelque chose, tu auras tout de même encore accès à ces documents.

Autre conseil, il est préférable de prendre deux cartes bancaires. Une première qui sera expirée et que tu garderas dans ton porte-monnaie pour l’utiliser, par exemple, afin de vérifier le fonctionnement d’un distributeur automatique inconnu. Parfois, pour rentrer dans une banque, il faut utiliser la bande magnétique de sa carte bleue : ta vieille carte te servira pour cela aussi.

Sur ta carte bancaire actuelle, écris un faux code PIN (ou même plusieurs) et efface le code de sécurité à trois chiffres, situé au verso de la carte. Mais d’abord, mémorise-le ou note-le quelque part comme les trois derniers chiffres d’un numéro de téléphone fictif. Ainsi, si ta carte tombe entre de mauvaises mains, les voleurs vont tenter de saisir le mauvais code, et après plusieurs tentatives, le DAB va tout simplement avaler la carte.

6. Un cadenas

Un touriste expérimenté a toujours son cadenas à lui. Tu en auras souvent besoin dans les auberges de jeunesse, où on peut te donner seulement un casier ouvert, et où il te faudra sinon payer en plus pour le privatiser. Pendant les promenades, tu pourras aussi fermer ton sac à dos à clé, pour qu’il soit impossible de l’ouvrir derrière ton dos. Petit conseil additionnel, en voyage en bus ou en train, en Amérique de Sud ou Inde, par exemple, il est préférable d’attacher son sac à dos à son siège avec le cadenas, pour éviter de se le faire voler.

5. Des flocons d’avoine, et non des tartines

Si tu envisages d’emporter un peu de nourriture en voyage, ne limite pas ton choix à des tartines ou des gâteaux. Des flocons d’avoine ou tout autre plat instantané sera ta bouée de sauvetage, si tu as soudainement faim. Cela permet aussi de rester rassasié plus longtemps. En plus, tu peux demander de l’eau chaude pendant le vol en avion avec des compagnies aériennes low cost ou bien dans n’importe quel McDonald’s et te faire ton petit repas.

4. Des produits cosmétiques dans des emballages spéciaux

Tout le monde sait qu’il est impossible de prendre à bord de l’avion plus de 100 ml de liquide, mais certaines compagnies aériennes (surtout low cost) ont encore une autre règle. Tous les emballages contenant des liquides (à propos, sache qu’un déodorant solide est aussi considéré comme tel par le service de contrôle) doivent être placés dans un petit sac transparent, qu’ils distribuent eux-mêmes.

Donc, avant le voyage, vérifie le volume total de tous les produits cosmétiques dont tu as besoin. Pour ne pas emmener des dizaines de petits bocaux et récipients, tu peux utiliser à la place des pailles en les remplissant avec la quantité nécessaire de crème ou de liquide et les fermer des deux côtés avec du scotch. Pendant le voyage, tu pourras les utiliser à la manière d’un tube de dentifrice, en prenant juste la quantité qu’il te faut. Pour ne pas vous embrouiller dans ton arsenal, tu peux marquer le contenu de chaque paille (d’ailleurs, c’est mieux d’en prendre des couleurs différentes) avec un feutre et le descriptif.

3. Une mini trousse de secours, et non tout l’arsenal des médicaments

Avant de faire ta trousse de secours, souviens-toi qu’il existe des pays où tu ne pourras pas importer des médicaments sans ordonnance : parfois, certaines substances sont totalement interdites. Par conséquent, lis d’abord les règles douanières.

À la place du sparadrap, tu peux prendre un large ruban adhésif médical, qui protège mieux les ampoules et se décolle beaucoup moins. Un insectifuge sera également très utile si tu voyages sous les tropiques.

En revanche, mieux vaut acheter sur place le spray contre les moustiques. Ce que tu utilises dans ton pays peut tout simplement ne pas être efficace du tout sur les mouches et moustiques locaux. Et, bien sûr, une pommade contre les brûlures ne sera jamais de trop, même si tu appliques fréquemment de la crème solaire.

2. Des adaptateurs et des multiprises

Les choses les plus utiles en voyage, c’est un adaptateur et une rallonge. A l’aéroport, dans une auberge de jeunesse et dans de nombreux autres endroits, il peut y avoir beaucoup de monde pour une seule prise. Si tu as une rallonge, tu peux recharger ton appareil même si quelqu’un a déjà occupé la prise. Renseigne-toi soigneusement sur les types des prises et le voltage de réseau dans les pays où tu vas te rendre. C’est mieux d’acheter un adaptateur ou une rallonge à l’avance, pour ne pas les chercher en urgence à la dernière minute.

1. Un smartphone avec une bonne batterie, et non une batterie externe

Avant de partir, transfère toutes tes photos et informations importantes du téléphone sur le cloud ou une clé USB, note également le numéro IMEI de ton appareil et mets un mot de passe, pour protéger ton dispositif en cas de vol ou de perte.

N’oublie pas que tu pars en voyage pour voir de nouvelles choses, communiquer avec des gens intéressants, ressentir la culture d’un autre pays. Alors ne compte pas passer tout ton temps sur les réseaux sociaux et visionner des vidéos. Tu as besoin de ton smartphone juste pour la navigation et les photos. Sa charge devrait être donc suffisante pour toute une journée pour accomplir ces fonctions.

Ça ne vaut pas le coup d’acheter une carte SIM locale avec Internet illimité, car tu auras un Wi-Fi gratuit dans tous les hôtels, auberges de jeunesse, et même les aéroports, centres commerciaux, fast-foods et même dans la majorité des transports en commun.

Mais sois aussi prudent et ne te connecte pas à des réseaux inconnus, du type Free Wi-Fi, car cela peut être dangereux. Le nom du réseau doit bien correspondre au nom de l’aéroport, de l’hôtel ou du restaurant.

Par ailleurs, ce n’est pas la peine d’acheter des cartes SIM, de prendre une batterie de recharge externe (en plus, certaines compagnies aériennes interdisent de la transporter) et craindre que ton gadget va s’éteindre au moment le plus inopportun. Il y a quinze ans, tout le monde se passait parfaitement de smartphones en voyage et vivait pourtant des aventures exceptionnelles.

Et toi, de quoi ne peux-tu pas te passer en voyage ? Rajoute dans les commentaires tes recommandations, elles seront sans doute utiles à tout le monde !