13 Femmes qui prouvent que vivre sans s’épiler est absolument incroyable
Lorsque tu tapes "Quand les femmes ont-elles commencé..." sur Google, l'une des principales suggestions est "Quand les femmes ont-elles commencé à se raser ?". Si l'épilation a des racines historiques profondes, de plus en plus de jeunes femmes acceptent désormais la pilosité corporelle comme un symbole de force et de confiance. Voyons comment ces femmes courageuses remettent en question les normes de beauté et s'approprient leur personnalité naturelle.
1. “J’adore les poils de mes bras, mais parfois je me sens complexée”.
2. "Rien de tel que la brise sur les poils de tes jambes"
3. "J'ai plus de poils sous les aisselles que mon mari."
4. "Il n'est pas nécessaire d'être parfaite pour être belle".
5. "4 ans d'amour de soi".
"Je me souviens encore du premier commentaire que ma mère a fait sur le fait que je me rasais les aisselles à l'âge de 13 ans et je ne comprenais pas pourquoi elle ressentait le besoin de faire des commentaires sur mon corps. Cela a eu un poids important et j'ai continué à me raser malgré la sensibilité de mes aisselles. Ce n'est que lorsque j'ai déménagé que je me suis sentie suffisamment en confiance pour arrêter de me raser. J'ai maintenant deux belles-filles, qui ont toutes deux fait des commentaires sur ma pilosité, ce qui a donné lieu à une discussion sur le fait que tout le monde a des poils et que les gens se rasent pour des raisons différentes - ce n'est pas à vous de décider comment les AUTRES PERSONNES doivent se présenter. La positivité corporelle commence à un jeune âge et a un poids que peu de gens comprennent." alisuraus / Reddit
6. "Je ne me rase plus du tout"
7. Drew Barrymore a fait sensation en 2005 lors de la New York Fashion Week en s'affichant en toute confiance
8. Le mannequin Ashley Graham a parlé franchement de la vie post-partum en 2020, en partageant un selfie en débardeur et en sous-vêtements jetables, montrant fièrement ses poils d'aisselles devenus adultes.
9. "Je normalise les robes et les jambes poilues".
10. "J'ai arrêté d’épiler ma moustache"
11. "Première fois que je porte un short sans être rasée"
12. "Ma plus jeune moi serait tellement obsédée par moi maintenant et franchement c'est tout ce qui m'importe".
13. "Me sentir belle et féminine dans ma pilosité corporelle".
Bonus
En 2008, le professeur Breanne Fahs a demandé à ses étudiantes de se laisser pousser les poils du corps et de réfléchir à cette expérience. Elle a ensuite demandé à des étudiants de se raser les jambes. Le projet a mis en évidence à quel point l'attente d'une épilation féminine est profondément ancrée dans les mentalités.
Les participants ont souvent ressenti de la honte, un manque de confiance en soi et même de l'exclusion sociale. Cependant, Mme Fahs a également remarqué des sentiments croissants de responsabilisation et de résistance. Comme le fait remarquer Mme Fahs, la pilosité corporelle est liée au genre et au pouvoir, et sa visibilité peut être un puissant outil de changement.