14 histoires qui te feront t’exclamer : “Non, c’est impossible !”

Gens
Il y a 5 ans

“Si vous voulez faire rire Dieu, parlez-lui de vos projets !” Cette déclaration de Woody Allen prend tout son sens dans les histoires des internautes des communautés “Heard There” et “Room #6” que nous allons te faire découvrir aujourd’hui...

Chez Sympa, nous sommes certains que même les plus grands miracles peuvent se produire, et s’il y en a eu dans ta vie, raconte-nous tes anecdotes dans les commentaires !

  • Beaucoup de parents ont essayé d’apprendre à leurs enfants à nager. C’était pareil pour moi aussi. Quand j’avais 8 ans, on m’a emmené à la mer pour la première fois de ma vie. Nous nous sommes un peu éloignés de la plage, mon père a enlevé mes brassards et a commencé à m’apprendre : il me tenait sous le ventre, puis il me lançait par-dessus les vagues et m’expliquait ce que je devais faire en me montrant les gestes. Et puis j’ai su pour la première fois ce qu’était une crise d’épilepsie. Parce que, soudainement, mon père s’est mis à trembler dans l’eau et s’est évanoui. C’est là que j’ai réalisé que soit je nageais, soit mon père n’allait plus être de ce monde. J’ai rempli mes poumons d’air et j’ai plongé après lui. J’ai eu de la chance qu’on ne soit pas allés trop loin. Je ne sais pas comment, mais moi, un petit garçon, j’ai ramené un homme costaud jusqu’à un endroit où je pouvais toucher le fond avec mes pieds, et je l’ai tiré jusqu’au bord de l’eau en criant pour obtenir de l’aide. Des adultes se sont approchés immédiatement. Mon père a été sauvé, mais depuis, il n’est plus jamais retourné à la mer, alors que moi, j’ai des douzaines de médailles de compétitions de natation accrochées au-dessus de mon lit.
  • Ma mère adore lire l’horoscope le matin. Moi, je n’y crois pas, alors parfois j’aime me moquer d’elle avec cette habitude. Mais récemment, elle a lu ça pour mon signe : “Aujourd’hui, tu pourrais être submergée par le désir de perdre le contrôle. Essaie de ne pas t’envoler pour l’Afrique et de rentrer chez toi”. Et ce ne serait rien si à ce moment-là, je ne me préparais pas pour mon premier rendez-vous avec un homme d’origine camerounaise.
  • Ça faisait un bon bout de temps que je parlais avec un homme sur un chat anonyme. On parlait de tout, on avait les mêmes centres d’intérêt. On ne s’est pas posé de questions sur notre ville, notre âge, nos noms. Mais pour une raison quelconque, j’aimais l’appeler “Mon trésor”, et il aimait m’appeler “Ma chérie”. C’était étrange et idiot, mais je trouvais ça très agréable. Une fois, je marchais dans un centre commercial pendant que je discutais avec lui sur le chat. Soudainement, j’ai bousculé un homme, je me suis vite excusée, et dans la précipitation, j’ai repris mon téléphone et je suis partie. Une minute plus tard, j’ai découvert que le portable n’était pas le mien, mais que j’avais apparemment pris celui de l’homme que j’avais heurté. Je l’ai regardé et j’ai vu la conversation ouverte avec moi. J’ai fait demi-tour en courant et lui était également en train de courir vers moi : “Ma chérie ?”, “Mon trésor ?” Oui, il s’est avéré que nous vivions dans la même ville, nous avions le même âge, nous nous appelions tous les deux Ale et nous ne prononcions pas bien le “R”. Si ce n’est pas de la magie...
  • J’ai un travail à temps partiel intéressant : j’accompagne les étrangers qui viennent dans notre ville pour affaires. Rien de compliqué : je leur réserve généralement une chambre d’hôtel, je les accompagne aux événements, je traduis tout dans leur langue maternelle. Une fois, j’ai été chargé de m’occuper d’un homme. Je l’ai emmené dans tous les lieux touristiques, je lui ai tout raconté et tout expliqué sur la ville. Et finalement il s’est avéré que c’était un de mes compatriotes qui avait déménagé aux États-Unis 15 ans plus tôt. Il s’ennuyait, et il avait la flemme de s’occuper de tout lui-même.
  • Ma sœur a adopté un chien, mais ils avaient déjà un vieux chat. Le chien n’aimait pas le chat, et ils ont commencé à se chamailler. À cette époque, elle apprenait au chiot à faire ses besoins dans la rue, et ils ont commencé à remarquer que le chien faisait pipi pendant qu’il dormait. Ils ont décidé de le sortir plus souvent, mais ça n’a pas aidé. Et le chat, rusé, allait dans la cuisine et miaulait ; ma sœur sortait dans le couloir et voyait à nouveau le chien dormir dans une flaque. Personne ne comprenait ce qui se passait. Mais un jour, le sacré minou a été démasqué : il rampait derrière le chien endormi, faisait pipi juste à côté de lui, et courait joyeusement vers la cuisine pour rapporter comment le chien était vilain ! Voyant qu’il avait été découvert, le chat s’est caché un bon moment...
  • Je suis une ex-anorexique. Je ne pouvais pas et je ne voulais pas manger. Tout a changé après mon admission à l’hôpital pour un traitement. J’ai rencontré ce garçon, on est devenus amis. Il m’a tout de suite plu ; enfin, il ne m’a pas seulement plu, pourquoi mentir, je suis tombée amoureuse dès le premier regard. Une fois, pendant qu’on parlait, il m’a dit qu’il aimait les filles bien en chair. Et voilà, c’est à partir de ce moment que j’ai commencé à manger, j’ai suivi une thérapie spéciale et je me suis fait soigner. Les médecins ont dit que c’était quelque chose qui arrivait très rarement, et moi, j’étais juste la plus heureuse. Je dois dire un grand merci à ce garçon. Nous sommes mariés depuis 10 ans.
  • Aujourd’hui, alors que je voyageais en train, j’ai observé la situation suivante : une vieille dame est montée dans le wagon, tenant un chaton contre elle, et les larmes aux yeux et la voix tremblante, a commencé à demander si quelqu’un pouvait emmener l’animal. On était à mi-chemin, tout le monde a fait preuve de compassion, a dit que le chaton était adorable, mais personne n’a voulu le prendre. D’ailleurs, je ne pensais pas que cette méthode marcherait vraiment, alors j’ai été très surpris quand une jeune femme de 25 ans a dit : “Je vais le prendre”. La vieille dame était heureuse, et la petite boule de poils a été déplacée sur la poitrine de sa nouvelle maîtresse. Pendant les 10 minutes qui ont suivi, j’ai observé la jeune femme envelopper son nouvel animal de compagnie dans son manteau, en essayant de le garder au chaud.
  • C’est arrivé il y a longtemps. Dans une rue piétonne, il y avait un défilé festif de printemps avec toutes sortes de spectacles : musique en direct, chansons, costumes, bulles de savon, une foule enjouée, sobre mais bruyante... Tout à coup, le téléphone d’une fille a sonné. Elle l’a sorti, a regardé l’écran avec horreur et a crié : “Silence !” À sa grande surprise, dans un rayon de 5 mètres, il y avait un silence total et tout le monde la regardait. “Oui, maman, je suis à la bibliothèque”.
  • Juste après l’université, j’ai commencé à enseigner. Ma vie professionnelle est devenue ce qu’il y avait de plus important dans ma vie. J’ai vécu une vie sentimentale fragmentée, aggravée par le fait que mon petit ami vivait dans une autre ville. Une fois, on s’est disputés très fort. Et puis, j’ai reçu un appel et j’ai eu le droit à un interrogatoire approfondi de sa mère au sujet de son merveilleux fiston. Comment il mangeait, comment il allait, comment il se comportait. Elle me vouvoyait et m’appelait par mon nom complet. J’étais occupée et je répondais automatiquement que tout allait bien et que j’étais contente de tout. Et soudain, j’ai entendu la phrase : “Si tu es contente de tout, pourquoi ne pas épouser cette tête de mule une bonne fois pour toutes ? J’en ai vraiment marre de ses crises de nerfs !”. Et c’est comme ça que je me suis mariée...
  • Une fois, quand j’avais 15 ans, j’ai écrit au plafond de ma chambre, au-dessus du lit, “Je t’aime” pour calmer mon petit ami, qui était stressé dernièrement. Ensuite, il a ajouté : “Moi aussi, je t’aime”. Après un an et demi de séparation, j’ai eu un nouveau copain. Au début, l’inscription le faisait rire, puis il a dit : “Je vais l’écrire moi aussi”. Un peu plus tard, j’ai rompu avec lui. Le suivant a également rigolé, mais a fini par écrire. Ainsi, à l’âge de 27 ans, j’avais une collection de 9 inscriptions sur tout le plafond. Et il y en a un, le dernier, qui a complété la décennie : “Mais moi, je me suis marié”.
  • Quand mes grands-parents ont eu mon père, ils sont allés visiter leur ville natale. Là-bas, mon père pleurait tout le temps et dormait mal. La grand-mère de ma grand-mère était persuadée qu’on lui avait jeté le mauvais œil. Elle a également suggéré une solution au problème : au coucher du soleil, il fallait aller avec le bébé au poulailler, “pour que les poules puissent aider”. Ma grand-mère n’a pas voulu débattre et a accepté. Mon grand-père avait écouté cette conversation et est allé le dire à son beau-père, ils ont ri et sont allés vaquer à leurs occupations. À la tombée de la nuit, la grand-mère de ma mamie a pris mon père dans ses bras et s’est dirigée vers le poulailler. Elles sont entrées et ont dit : “Bonjour, les petites poules !” Elles ont alors entendu : “Bonjour, les deux nouilles !” Le grand-père et son beau-père avaient décidé de faire une blague à la jeune maman et à la vieille femme trop superstitieuse. Mais après cette nuit-là, mon père n’a plus jamais pleuré et a bien dormi !
  • On donnait souvent à ma mère des billets au travail pour aller au théâtre, à l’opéra ou au ballet. Une fois, un célèbre groupe de ballet est venu dans notre ville, ils allaient interpréter Casse-Noisette, et ma mère a reçu des billets au premier rang ! Ces billets valaient leur pesant d’or. Naturellement, ma mère pensait que moi, un enfant de 3 ans, je devais assister à cet événement culturel important. Le spectacle durait déjà 2 heures, les danseurs faisaient de leur mieux, la musique s’est littéralement éteinte pendant une seconde, et j’ai crié : “C’est chiant !”
  • Un jour, à une fête, j’ai rencontré mon ancienne camarade de classe, qui se faisait passer pour une étrangère. Je n’ai rien dit : c’était tellement comique de la regarder “apprendre” la langue et parler de la vie en République tchèque. Elle a attiré l’attention de deux des plus beaux garçons, qui se pavanaient devant elle, et lui promettaient presque l’amour éternel. Moi, ça m’amusait bien cette astuce d’être passée d’une simple Alice à une charmante Eliska. Jusqu’à ce que je découvre que c’était effectivement une autre fille, qui vivait vraiment en République tchèque, et qu’elle ressemblait beaucoup à mon ancienne camarade de classe...
  • Le chat de ma colocataire a disparu : il est sorti par la fenêtre pour se promener, mais il n’est pas revenu. Ma coloc est une belle fille, avec beaucoup de prétendants, et ils l’ont tous aidée à le chercher. Après deux jours, quatre exemplaires de son Michi ont été trouvés. Et une semaine plus tard, le vrai est revenu, et il avait l’air abasourdi face à ses sosies. Nous avons gardé les chats, maintenant nous essayons de leur trouver un foyer, et ma coloc, je ne sais pas si c’était voulu ou non, a perdu son iPhone.

Cher lecteur, tu as peut-être fait du bénévolat dans une maison de retraite, vécu au Bangladesh, travaillé dans un restaurant étoilé Michelin à Paris, ou tout simplement, tu aimerais raconter au monde entier pourquoi il est si important de recevoir ses proches à l’aéroport. Envoie-nous tes anecdotes en contactant la rédaction de sympa-sympa.com avec pour objet “Mon histoire” !

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