15 Secrets des plateaux de films célèbres que les cinéastes préfèrent garder sous silence

Arts
Il y a 5 ans

Un spectateur régulier ne réalisera jamais la moitié de ce qui se passe sur le plateau des films de cinéma célèbres. D’après toi, qu’est-ce qui a inspiré les créateurs du film culte “The Matrix” lorsqu’ils ont créé les célèbres symboles verts à l’écran ? Ou quelle chose irréversible Kurt Russell a-t-il commis sur le plateau lors du tournage de “Les Huit Salopards” ? Tu trouveras les réponses dans cet article.

Sympa a mené l’enquête et connait désormais certains secrets des coulisses du monde de Hollywood et a hâte de les partager avec ses lecteurs.

  • Dans le film “Pretty Woman”, Julia Roberts a refusé de jouer les scènes où sont corps se verrait trop exposé. Le directeur du film a trouvé une solution et dans certaines scènes, Julia a été remplacée par la danseuse professionnelle Shelley Michelle. De plus, sur l’affiche du film nous ne voyons que la tête de Julia car le reste du corps appartient à sa doublure. Quand à Richard Gere, ses cheveux sont bruns sur l’affiche alors que dans le film, ils sont gris !
  • Dans le film “Titanic”, le tournage de la scène du repas qui est relativement courte a pris presque deux jours. Il y a en effet dans ce passage beaucoup de détails, de premiers plans, de regards échangés et de petites répliques. Le deuxième jour de tournage, les acteurs ont commencé à faire des grimaces et des blagues et à un moment donné, Leonardo DiCaprio a regardé les couverts et a demandé à l’actrice Kathy Bates : “Savez-vous quelle est la fourchette pour se faire une lobotomie ?”.
  • Te souviens-tu de la scène d’épilation de la poitrine dans le film “40 ans, toujours puceau”? L’acteur Steve Carell a dû vivre cette procédure pour de vrai. Le directeur a considéré que ce moment ne pouvait pas être filmé sans susciter des émotions naturelles : ils ont filmé la scène en une seule prise, en utilisant 5 caméras à la fois pour que tout soit parfait.
  • Pas besoin de maquillage très compliqué pour le film “Very Bad Trip”. L’acteur Ed Helms a une fausse dent à la place de celle qui n’a jamais poussé quand il était petit. Ainsi, pour certaines scènes, il lui suffisait d’enlever sa fausse dent.
  • Comment Sting, le célèbre chanteur a t-il pu faire une apparition dans le premier long métrage de Guy Ritchie — alors complètement inconnu — “Arnaques, Crimes et Botanique” ? Trudie Styler, l’épouse de Sting est propriétaire d’une maison de production. Un jour, elle a regardé le court métrage “The Hard Case” et il lui a tellement plu qu’elle s’est risqué à investir de l’argent dans un long métrage basé sur celui-ci et elle a même persuadé son mari de jouer dans le futur film. Voici comment Sting a fait son apparition dans le petit (mais brillant) rôle de propriétaire du bar et père du protagoniste principal ; le film a fait de Guy Ritchie l’un des directeurs cultes des temps modernes.
  • Dans le dessin animé “Vice-versa”, les créateurs nous ont fait un petit clin d’oeil : tous les personnages du film ont les yeux de la même couleur que leurs propres émotions. Tous sauf “Joy” (Joie) et “Sadness” (tristesse) qui ont toutes les deux les yeux bleus. De cette manière, les auteurs ont souhaité mettre l’accent sur le fait que la Joie et la Tristesse vont toujours de pair.
  • Le directeur du film “Shinning”, Stanley Kubrick, est connu pour son perfectionnisme : par exemple au lieu des 17 semaines de tournage planifiées, le tournage du film a duré 51 semaines. La scène du dialogue entre Shelley Duvall et Jack Nicholson a été tournée 127 fois et l’équipe a eu besoin de “seulement” 3 jours et 60 portes pour filmer la célèbre scène “Johnny est là”.

Bien sûr pour le tournage de cette scène l’équipe avait prévu des portes légères spéciales mais Jack Nicholson, qui avait travaillé dans le service des pompiers, les cassait trop facilement. Ils conçurent alors des portes plus lourdes et massives pour les prises suivantes.

  • Dans le film “No Limit”, les créateurs ont décidé de ne pas trop s’embêter à montrer comment les programmeurs modernes désactivent une bombe : dans le film cela est fait avec le programme courant de Microsoft Excel. La magie du cinéma !
  • Lors de l’un de ses entretiens, le directeur du film “Matrix”, Simon Whiteley, dévoile ce qui a inspiré la création des célèbres lignes de code vertes que l’on voit sur les écrans des ordinateurs. Il s’avère que c’est très simple : la base de ce patron fut inspiré par les symboles des livres de cuisine japonaise de son épouse.
  • Dans l’une des scènes du film “Les Huit Salopards”, le personnage de Kurt Russell casse sa guitare en morceaux. Le musée Martin fournit à l’équipe une guitare très rare de l’année 1870, et ils en ont fait plusieurs copies. On devait faire un montage de cette scène et Russell ne devait bien évidemment pas casser la guitare originale sinon une copie, mais tout ne se passa pas comme prévu ; pour une raison peu claire, l’acteur ne fut pas prévenu qu’il avait un exemplaire inestimable entre les mains. Pendant la prise, l’acteur, suivant le script, cassa la guitare en morceaux. Comme conséquence le musée déclara que sous aucun prétexte il ne prêterait encore une guitare pour tourner des films.
  • Dans le film “Les Évadés”, la scène de la première conversation entre Andy et Red a été filmée pendant 9 heures. Pendant tout ce temps, l’acteur Morgan Freeman continuait à lancer le ballon vers le haut sans se plaindre à aucun moment, mais le jour suivant il vint sur le plateau avec la main bandée. Ce n’est pas la seule scène qui a été réalisée en plusieurs prises.

Le directeur du film n’expliquait pas toujours bien ce qui ne lui avait pas plu, et ainsi de nombreux conflits voyaient le jour. Pendant l’une de ces disputes, Morgan indiqua qu’il ne participerait plus à des prises répétées sans qu’on lui explique les motifs.

  • Sur le logo de Warner Bros., qui précède le film “Harry Potter et la Coupe de feu”, on peut voir la silhouette de Nagini, le serpent de Lord Voldemort. Le motif est le suivant : le serpent apparaît ensuite dans l’une des premières scène du film.
  • L’artiste Margaret Keane, sur laquelle porte le film “Big Eyes” apparaît dans l’une des scènes. Elle interprète une femme assise sur un banc qui lit un livre au dos du personnage principal. Une photo de l’artiste et de l’actrice Amy Adams, qui incarne son personnage à l’écran, est diffusée à la fin du film.
  • Le budget du film “The Dallas Buyers Club” est assez modeste pour les standards d’Hollywood : par exemple, pour le maquillage de toute la période de tournage seulement 250 dollars ont été déboursés. Il est encore plus admirable de considérer qu’Adruitha Lee et Robin Matthews, qui avaient été les maquilleuses des artistes pendant le tournage, ont reçu l’Oscar de la catégorie “Meilleur maquillage et coiffures” pour leur travail.
  • Il y a un curieux clin d’oeil dans le film “The Greatest Showman” : dans les crédits d’ouverture nous voyons un patron dans lequel il est facile de reconnaître les griffes de Wolverine. Le rôle principal du film a été interprété par Hugh Jackman, le meilleur Wolverine de tous les temps.

Et toi, connais-tu une histoire qui s’est produite derrière les caméras ? Raconte nous dans les commentaires !

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