17 Occasions où une enfance modeste est un rappel que la vie est très belle avec peu de choses

Gens
Il y a 2 ans

On dit souvent que la vie est un éternel apprentissage. Il y a des circonstances qui sont difficiles à assimiler et qui peuvent rendre les choses un peu ou très compliquées pour nous. Mais elles nous enseignent des choses qui nous accompagnent tout au long de la vie.

Chez Sympa, nous voulons partager avec toi les belles histoires de vie racontées par certains internautes.

  • Notre enfance était pleine de limites, nous n’avions pas d’électricité, pas d’eau potable. À Noël, nous n’avions pas de cadeaux. Puis un jour, nous avons eu l’électricité et maman, faisant un grand effort financier, a acheté un ensemble de 24 petites lumières pour Noël, qu’elle mettait chaque année dans notre fenêtre en bois donnant sur la rue. Nous restions assis pendant des heures à regarder les lumières s’allumer et s’éteindre. Même après de nombreuses années, c’était toujours un moment magique. Aujourd’hui, j’ai les moyens d’avoir une vie différente, mais je n’échangerais pour rien au monde les moments de fêtes passés avec maman à regarder les lumières. © Manuel Loaiciga / Facebook
  • Nous sommes du Guatemala et je suis né dans les années 80. À l’époque, nous étions très pauvres mais je ne me suis jamais considéré comme tel, juste avec des limitations et des opportunités différentes des autres personnes, car la richesse se porte dans le cœur. Je me souviens que maman et papa nous cuisinaient toujours des haricots, des œufs et des herbes que nous coupions. Et 41 ans plus tard, me voilà marié et avec des enfants que j’emmène jouer dans ce lieu magique. Ne te considère jamais comme pauvre, partage ce que tu as, les récompenses sont grandes. © Erick Estuardo Barillas / Facebook
  • Quand nous étions enfants, nous étions pauvres. Je me souviens que nous avions l’habitude de prendre du café noir pour le petit-déjeuner et d’aller chercher le pain dur de la veille dans les boulangeries. Un jour, des amis nous ont invités chez eux à manger des céréales avec du lait pour le petit-déjeuner, et pour mes frères et moi, c’était la chose la plus délicieuse que nous ayons jamais goûtée. Je n’ai jamais oublié ce moment. Quand j’ai grandi, que j’ai eu plus de moyens et après m’être marié, je me suis promis de ne jamais manquer de céréales. © Jose Luis Sanchez / Facebook
  • On partait toujours en vacances avec ma famille. Un été, mes parents ont invité quelques oncles et tantes et mes cousins. Lorsque le plus jeune d’entre eux a vu la mer à l’âge de neuf ans, il a demandé avec beaucoup d’enthousiasme ce qu’était “cette piscine géante”. Lorsqu’il a découvert que c’était la mer, il a pleuré et nous a dit que c’était la plus belle chose qu’il avait jamais vue dans sa vie et qu’il n’oublierait jamais cette jolie surprise que nous lui avions faite. © Andy Cortés / Facebook
  • Enfant, je n’avais pas de vêtements pour Noël, et maintenant que je peux m’en acheter, je me sens mal à l’aise car je n’en ai pas besoin. Je me souviens avoir eu une paire de bottes dont le bord supérieur était en tissu. Un jour, le tissu s’est abîmé alors ma mère l’a coupé, et j’ai couvert la chaussure où l’on pouvait voir le tissu coupé avec mes chaussettes. Beaucoup de gens se sont moqués de moi. Maintenant, je prends plaisir à donner des chaussures aux enfants parce que je me souviens de ce moment. © Mari Hernandez / Facebook
  • Je viens d’une famille nombreuse et nous avions l’essentiel, même si nous ne pouvions pas nous permettre certains luxes, comme manger des céréales avec du lait le matin ou acheter des pommes. Pour nous, avoir ces choses était un signe que les gens avaient beaucoup d’argent. Aujourd’hui, à l’âge de 26 ans, j’apprécie vraiment les efforts de mes parents pour nous donner une éducation, car maintenant je peux acheter des céréales et des pommes. © Amarie Morgen / Facebook
  • Une de mes tantes travaillait dans une maison de riches et elle m’emmenait souvent avec elle. Je m’entendais très bien avec les enfants de la maison. Un jour, l’aîné, qui avait mon âge, a sorti un gigot de porc fumé, l’a accroché dans un arbre et a sorti un couteau de sa poche pour couper des morceaux pour les manger. J’ai eu peur et je lui ai dit que sa mère allait le gronder. Il a répondu de ne pas m’inquiéter, que ce ne serait pas le cas, et en effet elle n’a rien dit du tout. Je ne pouvais pas comprendre comment ils considéraient cet énorme morceau de viande comme normal et, pour nous, les pommes de terre étaient un festin. © Claudia Lorena Mendoza Arredondo / Facebook
  • Quand mon mari était petit, il était très pauvre et ne recevait jamais de cadeau pour Noël ou son anniversaire. Aujourd’hui, je m’assure qu’il a toujours un cadeau pour la fête des pères, Noël, l’Épiphanie, les anniversaires, et surtout un gâteau. C’est agréable de voir ses yeux s’illuminer à chaque fois. Il le mérite tellement. © Soledad Beledo / Facebook
  • Lorsque j’ai commencé à sortir avec mon mari, j’étais séparée et j’élevais seule mes deux filles. Il nous invitait toujours partout : au cinéma, à manger dans un bon restaurant avec des jeux, à aller nous promener dans d’autres localités plus éloignées de notre maison.
    Il nous a invitées à de nombreuses choses que je trouvais difficiles à payer en raison de ma situation. Ma petite fille, qui avait environ six ans à l’époque, lui a demandé : “Tu es millionnaire, n’est-ce pas ?” En fait, mon mari n’est pas millionnaire, mais il a travaillé très dur pour pouvoir avoir ce que nous avons. Aujourd’hui, nous sommes une famille heureuse et, à ce jour, nous le remercions toujours pour tout ce qu’il fait pour nous. Nous l’aimons tellement ! © Antonella Salvattore / Facebook
  • Je ne peux pas me plaindre de mon enfance car mes parents nous ont tout donné, à ma sœur et à moi. Cependant, à l’université, j’ai vu des gens qui avaient des difficultés parce que, par exemple, ils n’avaient pas apporté d’argent pour aller déjeuner dehors. On m’a appris à être généreux, et je ne les ai jamais laissés de côté. Je suis très heureux que ces personnes aient surmonté cette situation et vivent désormais confortablement. © J Carlos Cavazos de la Garza / Facebook
  • Un Noël, nous n’avions pas de dîner, et à l’école de mes enfants, ils ont fait une collecte auprès des enseignants pour nous offrir quelque chose. C’était la seule fois que je recevais quelque chose comme ça, mais pour moi, c’était très important et spécial. La directrice me l’a donné et m’a expliqué qu’ils l’avaient fait parce que, malgré les difficultés que je rencontrais, je n’ai jamais cessé d’assister aux réunions et mes enfants n’ont jamais manqué les cours. Au contraire, ils ont tous obtenu la plus haute note et le meilleur taux de présence.
    © Carolina Andrea / Facebook
  • Quand j’étais petite, j’étais dans une école pour personnes à faibles revenus (j’étais une enfant de classe moyenne, mais je n’ai jamais pensé que nous étions riches ou quelque chose comme ça). Bref, un jour, ma mère est venue me chercher en voiture mais nous sommes tombées en panne sur le chemin du retour. Ma mère a alors cherché le mécanicien le plus proche pour la réparer. Il s’est avéré que ce mécanicien était le père d’une de mes camarades de classe. Pendant qu’il réparait la voiture, je suis allée jouer avec sa fille, chez elle. J’ai été très surprise par la taille de sa maison : il s’agissait d’une seule pièce divisée en une cuisine, une salle de bains et des chambres à coucher avec des tissus suspendus. J’ai continué à jouer comme si de rien n’était, mais quand nous sommes partis, j’ai dit à ma mère à quel point la maison était petite. À ce moment-là, elle m’a expliqué que je devais être très reconnaissante pour les choses que nous avions. Je serai toujours reconnaissante pour ce que mes parents m’ont donné dans ma jeunesse. © Moni Williamson / Facebook
  • Un Noël, nous nous sommes retrouvés sans rien. Nous pleurions parce que cette année-là, ma mère, celle qui ramenait l’argent à la maison, était tombée malade après avoir découvert l’infidélité de mon père. Nous avons fait faillite dans l’entreprise, tout s’est effondré et j’ai dû m’occuper d’elle et de mon fils, tout en essayant de reprendre les deux magasins que nous avions. Je ne pouvais pas tout faire en même temps et nous pensions que ce serait le pire Noël de tous les temps.
    Heureusement, mon seul frère, qui venait d’être diplômé, a trouvé cinq emplois. Un jour, il nous a appelés pour nous dire qu’il arrivait en taxi et que nous devions l’attendre dans la rue car il venait avec des choses. Quand il est arrivé, il apportait de la dinde, du riz, de la mortadelle, du jambon... le taxi était presque plein de nourriture et de cadeaux. J’ai pleuré. Grâce à mon frère, nous avons bien mangé et avons eu de la nourriture pour plus d’un mois. © Mabel Abendaño Zuñiga / Facebook

Qu’est-ce que tu penses ou considères comme un grand privilège ? Quelle situation t’a appris à valoriser même les choses les plus petites ?

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