20+ Secrets sur la création de films cultes qui ont été en avance sur leur temps
Il existe des films que l’on a envie de revoir encore et encore, uniquement parce que ce sont des productions de qualité, très bien ficelées. Elles te font coller à l’écran, suivre l’intrigue et oublier complètement que tout cela n’est que pure fiction. En fait, derrière une toute petite scène il y a parfois des mois de préparation et des jours de tournage, et un beau film est souvent le résultats de plusieurs années de travail minutieux.
Sympa a découvert des secrets de la production de quelques films de science-fiction emblématiques et nous aimerions aujourd’hui les partager avec toi. En bonus, nous te dévoilons même comment s’est créée la magie dans le film Les Animaux fantastiques.
Le Hobbit
-
Ce film marque une “nouvelle étape du cinéma”, car il a été tourné en 48 images par seconde au lieu de 24 images traditionnelles. La différence fondamentale pour le spectateur consiste en ce que l’image est devenue plus fluide et plus nette. Cependant, pour des raisons techniques, la plupart des salles n’ont pas été en mesure de diffuser le long-métrage dans le nouveau format, et les créateurs ont dû reconvertir le film au standard 24 images par seconde.
-
Initialement, il était prévu de faire seulement deux films, mais les plans ont changé en cours de route car l’histoire n’avait pas l’air complète et il lui manquait des éléments. On a alors tourné une partie de plus et on l’a insérée au milieu, et le matériel déjà réalisé a été divisé respectivement en premier et troisième volets. C’est ainsi que Le Hobbit est devenu une trilogie.
-
Les plans d’extérieur ont été filmés sur plusieurs plateaux en Nouvelle-Zélande et en studio. On a construit la ville de Dale spécialement pour ce film, avec de nombreux bâtiments aux fondations mobiles qui permettaient de les déplacer d’un endroit vers un autre. Dans le deuxième volet de la trilogie, la ville a dû être détruite et l’équipe a elle-même démoli tout ce qui avait demandé tant d’efforts.
- Les personnages de Gollum et de Smaug ont été créés à l’aide de la technologie de la capture de mouvement. L’acteur porte des capteurs qui enregistrent ses gestes et ses mimiques et un programme spécial les convertit en 3D. Ainsi, “Sherlock”, Benedict Cumberbatch, rampait, se tordait et “crachait des flammes” pour que nous puissions voir la puissance du dragon. Pour la préparation de ce rôle, il a étudié les habitudes des iguanes et des varans au zoo de Londres. Cette vidéo va te donner une idée de ce à quoi ressemble la motion-capture. L’acteur se souvient : “J’ai insisté non seulement pour donner ma voix à Smaug, mais aussi pour le jouer.” “Je n’ai pas vu Sherlock et je ne savais pas qu’il était célèbre, j’ai juste apprécié la sonorité de sa voix”, répond le réalisateur.
-
David Farmer, ingénieur du son, a cherché partout un rugissement terrifiant de dragon. Finalement, il a enregistré le cri d’un porc affamé tôt le matin dans une ferme et y a ajouté les cris de sa fille. Il a modifié ensuite le timbre et la vitesse d’enregistrement pour que tout cela ressemble au son produit par un dragon. Le mélange infernal qui en a résulté est resté dans la trilogie.
-
Le grand élan sur lequel se déplace Thranduil, le roi des Elfes de la Forêt Noire, a en fait été incarné par un cheval qui s’appelait... Moose (“élan” en anglais). Et l’acteur Lee Pace, qui a incarné Thranduil, est en réalité plus jeune que son fils à l’écran, Legolas, interprété par Orlando Bloom de deux ans son aîné.
-
Les créateurs du film ont eu recours à une astuce : ils tournaient une même scène en parallèle avec deux caméras sur deux plateaux à part. Imagine : à gauche un acteur se tient dans le décor d’un trou de Hobbit et donne des répliques. À droite, à une dizaine de mètres de là, devant un écran vert, Ian McKellen, qui interprète Gandalf, lui répond. La caméra est placée plus près du magicien pour donner l’illusion de la différence des tailles. Ensuite, en postproduction, l’arrière-plan est supprimé et les images obtenues sur les deux plateaux sont mixées.
-
Comme il devait jouer séparément avec des nains, Ian McKellen était tellement contrarié qu’il a craqué et a crié : “Ce n’est pas pour faire ça que je suis devenu acteur !” Le micro était allumé et tout le studio l’a entendu. L’équipe de tournage l’a bombardé de cadeaux et de cartes postales pour lui remonter le moral.
-
L’ampleur de la production était en fait colossale. Rien que pour le chapitre Le Hobbit : La Désolation de Smaug, on a fabriqué plus de 800 paires d’oreilles d’elfes, 752 perruques et 263 barbes, près de 800 armes, et tout ce matériel était ajusté pour s’adapter parfaitement aux acteurs et aux doublures. Par contre, Richard Armitage, interprète de Thorin, a fait pousser sa propre barbe au lieu d’en mettre une fausse.
-
Depuis la sortie du Seigneur des anneaux, les technologies de la création de looks ont fait d’énormes progrès, et le maquillage des personnages imaginaires est désormais plus simple et ne nécessite pas d’être constamment retouché car en plus de résister à la chaleur, à l’eau et même au feu, il dure toute la journée. C’est le plus gros nain, Bombur, qui demandait le plus de travail, et la transformation du comédien durait presque 2 heures, alors que le maquillage du jeune nain Kíli ne prenait que 30 minutes.
-
Presque tous les jours, le réalisateur tenait un journal vidéo qui a permis aux spectateurs de découvrir les moments les plus cool et les plus drôles du tournage.
-
L’équipe a bénéficié de 3 grandes imprimantes 3D pour réaliser de nombreux accessoires : poignées des épées, casques, agrafes et même 48 prothèses qu’on utilisait chaque jour pour la transformation des acteurs, ainsi que les pieds des hobbits et des nains, leurs oreilles et faux nez.
-
À la fin du tournage, le réalisateur Peter Jackson a avoué que c’était épuisant : “En règle générale, je n’aime pas vraiment faire des films”, a-t-il dit. “Je préfère l’étape de l’écriture et de la postproduction.”
Avatar
- Le réalisateur James Cameron a conçu le scénario de ce film avant le tournage de Titanic en 1994. Il a écrit un script de 80 pages qui a servi de base à sa future superproduction sous l’influence de livres de science-fiction qu’il avait lus alors qu’il était enfant.
- Le tournage du film était supposé démarrer au cours de l’été 1997 pour une sortie au début des années 2000, mais le réalisateur a décidé que la technologie de l’époque n’était pas suffisamment développée et ne serait pas à la hauteur de son imagination, et il a donc choisi d’attendre. Combien de temps ? Autant qu’il faudra.
- C’est Peter Jackson, le réalisateur du Seigneur des anneaux, qui a inspiré Cameron à lancer la production. En conséquence, le film est composé à 60 % d’éléments de synthèse et à 40 % de scènes réellement tournées.
- Assisté par le linguiste Paul Frommer, le réalisateur a créé la culture des Na’vis et a élaboré leur langue. Ce langage comporte 1000 mots : quelques “inventions” et des emprunts au polynésien, à des langues africaines et aux dialectes des Maoris de Nouvelle-Zélande.
- Pendant deux ans, l’équipe de designers a travaillé pour concrétiser l’apparence des Na’vis, et la tâche n’a pas été facile : “Il fallait créer des êtres qui devaient ressembler à la fois aux chats et aux humanoïdes, mais posséder des visages humains.” La couleur bleue de la peau a été retenue parce que la mère du réalisateur avait fait un rêve : “Ma mère m’a dit qu’elle avait rêvé d’une femme bleue de 3 mètres et demi de haut. Et je me suis dit que c’était une image cool.”
- Zoe Saldana, l’interprète de Neytiri, évoque la première fois qu’elle a vu sa version d’Avatar : “Quand j’ai vu la version bleue de moi-même, j’ai la tête qui a explosé. Je ne pouvais pas trouver de mots pour exprimer mes sentiments. C’était quelque chose de si merveilleux et de si beau ! Et ça me ressemblait vraiment.”
- Il est inutile de mentionner que toutes les technologies disponibles à l’époque ont été utilisées pour produire ce film. Le réalisateur avait devant les yeux les copies numériques des acteurs dans deux projections et pouvait changer leur univers virtuel en temps réel. Il a également eu recours à la technologie de capture de mouvement et de mimiques des comédiens et aux programmes destinés à créer des paysages et des scènes de combats.
- Après le casting, James Cameron a emmené toute l’équipe à Hawaï, afin que tout le monde se familiarise avec la jungle tropicale et puisse répéter dans “des conditions proches de celles sur Pandora”. Lors de la préparation, les acteurs acquéraient les compétences nécessaires à leurs personnages : manipulation des armes à feu ou tir à l’arc et équitation. Et bien évidemment, ils apprenaient la langue na’vi.
- Pour les paysages et les décors, l’équipe s’inspirait d’objets et de lieux existant réellement. Ainsi, les montagnes flottantes s’inspirent de formations calcaires situées en Chine, et la colonie minière est issue d’une plateforme pétrolière dans le golfe du Mexique.
- Pour les thèmes d’amour, le réalisateur a trouvé l’inspiration dans ses propres films. L’histoire de Jake et Neytiri rappelle l’histoire de Jack et Rose, passagers du Titanic. Ils sont originaires de cultures et de communautés différentes et ne doivent en aucun cas être ensemble. Mais nous savons que l’amour est plus fort que tout.
- Le compte Twitter d’Avatar a dévoilé quelques concept arts et a présenté les premières images du nouvel épisode. “Dans la suite d’Avatar, vous ne retournerez pas juste à Pandora, vous explorerez de nouveaux lieux de ce monde”, informe le tweet. Parmi les nouveaux héros, il y aura deux fils et la fille des personnages principaux, Jake et Neytiri. La sortie d’Avatar : La Voie de l’eau est prévue pour le 17 décembre 2021, mais comme la date a été repoussée trois fois, nous ne pouvons qu’espérer voir cette beauté le plus vite possible.
Maléfique
- Angelina Jolie a été la première et l’unique candidate à ce rôle. “Il y a un mal délicieux en Maléfique, et Angie correspond parfaitement à ce rôle. Elle a enrichi le caractère du personnage avec des choses qui sortent vraiment du classique”, a déclaré le réalisateur Robert Stromberg.
- Pour les besoins de la production, on a réalisé 6 coiffes différentes qui couvraient toutes les saisons. La pose du maquillage prenait 3 heures chaque jour. “Nous cherchions des cornes qui pouvaient bien tenir sur la tête, sans pour autant me gêner quand je bougeais. Finalement, nous avons pensé à utiliser mes cheveux pour les maintenir”, a confié l’actrice.
- Initialement, les maquilleurs ont fabriqué des prothèses pour le front et le menton d’Angelina, mais le rendu était trop caricatural. Cette idée a été alors abandonnée et l’image de la sorcière a été créée uniquement grâce au maquillage.
- L’actrice a exigé que pour tous les tournages les maquilleurs lui ajoutent des pointes aux oreilles, créent des pommettes saillantes avec du latex liquide et de la colle, rendent son nez plus épais et lui installent de faux crocs. “Je joue une créature et je dois l’incarner, elle, et pas une belle femme”, a déclaré l’actrice. Elle a totalisé 70 jours maquillée et déguisée, et ses journées duraient souvent 16 heures. Nous te proposons cette vidéo pour découvrir toutes les étapes de la pose du maquillage.
- Plus de 2000 costumes ont été réalisés à la main pour les personnages du film. Les tenues de l’héroïne ont été conçues dans un style gothique, féminin et élégant, mais en même temps puissant et en rapport avec l’ambiance du film.
-
Trois enfants de Brad et Angelina ont participé dans Maléfique. La plus jeune, Vivienne Jolie-Pitt, a incarné Aurore enfant. “Le premier jour du tournage, elle devait attraper un papillon, mais elle n’avait pas envie, donc il a fallu répéter à la maison. Je ne veux pas qu’ils deviennent acteurs, je veux juste qu’ils aiment ce qu’ils font et qu’ils travaillent avec plaisir. Quand ils seront grands, ils choisiront eux-mêmes comment gagner leur vie”, a confié l’actrice.
- La voix du personnage a été trouvée suite à plusieurs tests : “Je racontais des histoires et des contes à mes enfants avec des voix différentes, et une fois qu’ils ont réagi : ‘C’est une voix étrange, maman, pourquoi tu fais ça ?’ Et puis ils m’ont demandé de continuer avec cette voix. C’est comme ça que j’ai sélectionné pour mon personnage une voix mystérieuse et intéressante à écouter.”
- Une quarantaine de plateaux avec des décors ont été construits, et parmi eux, un immense château aux sols en marbre. “Nous voulions que ce soit le plus grand château que vous ayez jamais vu. À l’intérieur, tout était également impressionnant : une salle au plafond voûté de 30 mètres de haut, une table à manger de 19 mètres de long et un trône de 8 mètres”, se souvient le producteur du film. Pour te donner une idée sur l’ampleur de cette production : même le jardin, la forêt de pins, ainsi que les deux rivières avec des chutes d’eau, les plantes exotiques et les fleurs étaient réels et toute cette beauté se trouvait dans les studios.
- Angelina Jolie a avoué que sa prestation dans Maléfique avait été pour elle une épreuve, et que ce rôle avait été l’un des plus difficiles. “Dans ma vie, j’ai vécu des moments où l’on ne me comprenait pas et où l’on ne m’acceptait pas, tout comme Maléfique. Au début de ma carrière, je me sentais mise à l’écart”, a déclaré la star.
Interstellar
- Steven Spielberg devait initialement réaliser ce film. Il a confié le scénario à Jonathan Nolan et ce dernier a finalement choisi de quitter le projet. Jonathan a eu la présence d’esprit de proposer à son frère Christopher de prendre le rôle de réalisateur. C’est lui qui a défini le but du film : faire en sorte que “les événements les plus exotiques de l’univers deviennent accessibles à l’humanité.”
- Matthew McConaughey a avoué qu’il n’avait jamais voulu devenir astronaute et qu’il se contentait de découvrir les choses qui se passaient sur Terre. Par contre, Jessica Chastain, fan de Star Wars et de la princesse Leia, était ravie d’intégrer une production sur l’espace.
-
À l’origine, le personnage de Murphy devait être un homme, car les créateurs voulaient faire ressortir le thème du père et du fils, mais le réalisateur a eu une fille, et tout a changé. Selon Jessica Chastain qui a interprété Murphy, il a déclaré : “Il a pu profiter de son expérience personnelle et il a dit : ‘Attendez, mais pourquoi pas une relation père-fille ?’ Finalement, on n’est pas si différents que ça, les hommes et les femmes. Nous avons un monde intérieur complexe, et nos rêves, nos ambitions et nos peurs sont identiques.”
- Matthew McConaughey a mis plus de 5 heures à lire le scénario, puis le réalisateur lui a donné rendez-vous. “Nous avons surtout parlé de nos enfants, on a beaucoup ri et on s’est quittés en bons copains. Je me rappelle que je me dirigeais vers ma voiture et que j’ai pensé : Et c’était pour quoi, tout ça ?”. Il s’est avéré que c’est ainsi que le réalisateur lui a offert le rôle.
- Le film a été tourné avec une seule caméra. C’était une exigence singulière du réalisateur. La même scène était filmée plusieurs fois avec une caméra IMAX que l’on déplaçait ensuite dans un autre coin et on recommençait. Pour les opérateurs, c’était en fait très compliqué.
-
Toutes les aventures spatiales n’ont pas été inventées, mais conçues et calculées par le physicien théoricien Kip Thorne. Il a assisté au tournage pour expliquer aux acteurs les spécificités des scènes. “J’avais peur de me sentir stupide à ses côtés. Mais j’ai eu de la chance, c’est un scientifique très gentil”, évoque Anne Hathaway.
-
Au lieu de faire simple et de créer des effets spéciaux spectaculaires, le réalisateur a décidé de profiter à la science et de présenter des concepts réels. Le consultant du film, physicien Kip Thorne, un des plus grands experts dans la théorie générale de la relativité, a partagé avec l’équipe ses découvertes scientifiques : équations théoriques et formules, bref, le travail de toute sa vie. Un programme a ensuite transformé ces équations en séquence vidéo et a créé une simulation réaliste d’un trou de ver et d’un trou noir. Donc, tout ce que nous voyons dans le film ne résulte pas d’un esprit créatif, mais provient de la science.
- Le réalisateur n’aime pas les effets spéciaux et tout ce qui pouvait être réellement filmé, l’était. Ainsi, de gros nuages de poussière ont été faits avec des matières synthétiques et gonflés à l’aide d’énormes ventilateurs. À part cela, un champ de maïs a été planté spécialement pour le tournage. Et au lieu d’un fond vert, les acteurs jouaient devant un arrière-plan de 18 mètres représentant l’espace.
-
Le robot TARS, un des principaux personnages à l’intelligence artificielle, n’était pas un effet numérique, il a bel et bien existé et la marionnette était commandée par le comédien Bill Irwin qui lui a ensuite prêté sa voix.
- Hans Zimmer, le célèbre compositeur allemand, connu pour ses musiques de films et de jeux vidéo, n’a même pas lu le script. Tout ce qu’il a obtenu était une page de texte qui décrivait les sensations que le film devait provoquer. Mais quand on est un génie, on saisit tout et on crée un chef-d’œuvre de plus. Zimmer a composé la bande originale au rythme de 1 battement par seconde pour mieux exprimer le temps qui s’écoule.
- La fameuse scène dans laquelle Cooper sanglote et qui a servi de base à des centaines de mèmes, a été filmée dès l’une des premières prises. Le réalisateur a dit à ce propos : “Nous avons tous oublié le jeu et la fiction et il en est ressorti un moment très humain, personnel et intime. Des larmes masculines authentiques. Je me suis alors dit que Matthew était vraiment un acteur incroyable.”
- Anne Hathaway a failli être victime d’hypothermie. Le tournage se déroulait en Islande et alors que l’actrice était à moitié dans l’eau glacée, l’eau froide s’est infiltrée à l’intérieur de sa combinaison. Malgré cela, la comédienne a préféré ne rien dire et a continué à tourner, pour ne pas déranger le réalisateur.
- La combinaison spatiale de Matthew McConaughey pesait plus de 18 kilos, mais l’acteur n’a pas paru gêné : “Je pense qu’une vraie combinaison spatiale pèse au moins 45 kg, mais ils ont fait un excellent travail pour rendre la mienne aussi légère que possible. Après tout, je devais bouger plus. Ainsi, en Islande, on était sur un glacier et je portais une combinaison spatiale, le vent était violent et nous attendions les hélicoptères qui devaient venir nous chercher, mais cela ne fait rien, nous avons tenu le coup.”
Bonus : voici comment on a créé la magie dans le film
Les Animaux fantastiques
Et toi, quels films de fiction aimes-tu ?
Quelles productions recommanderais-tu à nos lecteurs ?
N’hésite pas à nous donner ton avis dans les commentaires !