Je refuse de sacrifier mon bonheur pour sauver mon petit-fils

Éducation
Il y a 6 mois

Nous nous efforçons tous d’assurer le bien-être et le bonheur de notre famille. Cependant, il y a des moments où nous devons donner la priorité à nos propres besoins. Jacqueline, une veuve de 72 ans, avait économisé avec enthousiasme pour un voyage qu’elle attendait depuis longtemps. Ses projets ont été bouleversés lorsque son petit-fils est tombé gravement malade et que sa famille a demandé l’argent qu’elle avait mis de côté. Le refus de Jacqueline d’apporter son aide a conduit à un conflit dramatique. Elle nous a écrit pour nous demander conseil.

Voici la lettre de Jacqueline :

Jacqueline, merci d’avoir partagé ton histoire avec nous. Nous avons quelques conseils qui, nous l’espérons, pourront t’être utiles.

Ouvre le dialogue avec ton fils

Aborde ton fils avec calme et ouverture d’esprit, en cherchant à comprendre son point de vue. Explique-lui tes sentiments et l’importance du voyage pour toi, mais écoute aussi ses inquiétudes concernant la santé de son fils.

Reconnais le stress émotionnel qu’il subit et exprime ton désir de trouver un compromis. Peut-être pourriez-vous vous mettre d’accord sur une contribution plus petite et plus gérable au traitement, tout en conservant suffisamment d’argent pour ta croisière.

Demande une médiation ou un conseil

Envisage de faire appel à un tiers neutre, tel qu’un thérapeute familial ou un médiateur, pour faciliter une conversation constructive entre toi et ton fils.

Un professionnel peut aider les deux parties à exprimer leurs besoins et leurs sentiments dans un espace sûr, en travaillant à une résolution qui respecte ton désir de bonheur et le besoin de soutien financier de ta famille. Cela peut aider à apaiser la relation tendue et à trouver un terrain d’entente.

Explorer d’autres options de financement

Suggère d’explorer d’autres options financières pour le traitement de ton petit-fils. Il peut s’agir de mettre en place une campagne de crowdfunding, de s’adresser à des organisations caritatives ou de demander des subventions médicales.

En participant activement à la recherche de ces solutions, tu montres ton engagement pour le bien-être de ton petit-fils sans avoir à sacrifier ton voyage tant attendu.

Donne la priorité à ton propre bien-être

Réfléchis à l’importance de ta santé mentale et émotionnelle. En tant que veuve de 72 ans qui a économisé avec diligence pour ce voyage de rêve, ton bonheur et ton bien-être sont également importants. Si tu décides de donner la priorité à ta croisière, écris une lettre sincère à ton fils pour lui expliquer ta décision et l’amour que tu portes à ton petit-fils. Parfois, le maintien de ton propre bien-être peut te donner la force nécessaire pour soutenir les autres de différentes manières.

N’oublie pas que ta décision ne signifie pas que tu aimes moins ta famille, mais plutôt que tu apprécies également les années d’efforts que tu as investies dans ton rêve.

Une maman nous a confié son histoire après que sa fille adolescente lui a annoncé qu’elle était enceinte. Cet événement lui a fait prendre conscience qu’elle devait lui révéler un lourd secret, et elle nous a demandé conseil.

Photo de couverture Teona Swift / Pexels

Commentaires

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je suis veuve aussi et j'aimerai faire un voyage en jamaique j'économise aussi pour ce voyage mais si mon fils venait me demander mes économies pour sauver mon petit fils ou ma petite fille car il a eut 2 enfants ou même lui même je lui donnerai mes économie et je ferais une croix sur mon voyage et pourtant je n'ai eut que des malheurs tout au long de ma vie car même si je suis vielle et que je n'ai jamais eut la chance de voyager la vie de mes petits enfants et celle de mon propre fils sont beaucoup plus importante qu'un voyage de fin de vie qui je pense eux ne se souviendront pas quand je serai morte et moi sur mon lit de mort je m'en voudrai d'avoir laisser mourir mon petit fils pour un voyage de fin de vie qui franchement ne m'aportera rien à part de ne plus voir mon fils et sa famille de plus je ne voudrais pas avoir la mort de mon petit fils sur ma conscience donc pour répondre à ta question je te dirai oui tu es gravement égoiste c'est quand meme ton petit fils c'est pas un étranger c'est ta chair de ta chair et le sang de ton sang que penses tu que te dirais ton mari si il était encore de ce monde ?

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