Les conseils quels qu'ils soient ne marchent pas...
10 Conseils qui aident à surmonter la peur de l’accouchement
L’accouchement est la plus grande crainte des femmes enceintes. Certains facteurs comme le désespoir face à la douleur et l’inquiétude pour le bien-être du bébé qui va naître peut augmenter la peur. Ils sont encore plus forts chez les jeunes femmes qui n’ont jamais eu d’enfant. Le manque d’expérience ou au contraire une mauvaise expérience de l’accouchement ou le stress que causent les commentaires des autres, peut perturber la tranquillité des futures mamans. Heureusement, en changeant certaines choses, cette peur peut se dissiper.
Chez Sympa, nous avons réuni 10 conseils pour t’aider à accoucher en toute quiétude (ou presque).
1. Se reposer dès le début
Vivre sans stress est idéal pour toute personne, dans n’importe quelle étape de sa vie. Une étude, réalisée par l’Universidade do Algarve avec l’Université Complutense de Madrid, indique que les exercices de relaxation pendant la grossesse permettent de diminuer l’anxiété, le stress et la possibilité de souffrir de dépression. De plus, cela permet un bon état émotionnel et psychologique de la mère afin d’accueillir le nouveau-né dans de meilleures conditions.
2. S’informer sur les doutes, même s’ils sont minimes
Connaître tous les aspects de l’accouchement, les différentes variantes qui existent, distinguer les vraies contractions des fausses alertes, connaître les changements que le corps subit au cours de la grossesse et les droits de la mère et du bébé, facilitent le processus d’accouchement. D’autre part, plus les mères seront informées, moins il y aura de risques de violences gynécologiques et obstétricales pendant la naissance de l’enfant.
3. Faire confiance à l’équipe médicale et à la famille
S’attribuer de nombreuses responsabilités augmente le niveau de stress. Lorsque ce phénomène se produit, il peut affecter le développement du bébé ou avancer l’accouchement ; il est important de chercher et d’accepter le soutien de ses proches, amis et de l’équipe médicale qui s’occupe de la grossesse. Certains petits gestes, comme des massages, peuvent soulager les douleurs de la gestation.
4. Communiquer avec l’obstétricien
Généralement, certaines femmes enceintes se présentent aux consultations mensuelles et ne font qu’écouter, mais il est important de poser des questions lorsqu’il y a des doutes. Parler de ses peurs, exprimer ses idées à propos de l’accouchement et même, dire à l’obstétricien ce qu’elles souhaitent pour ce jour si particulier, favorise une bonne relation médecin-patiente. L’objectif n’est pas seulement de se rassurer, mais aussi d’apporter suffisamment d’informations à l’équipe qui sera présente le jour J.
5. Se préparer à un accouchement prématuré
Un accouchement qui a lieu avant la 37e semaine de gestation est considéré comme prématuré. Avant d’être confronté à cette situation, il est préférable que la mère reste tranquille et fasse confiance au personnel médical ; en fonction des semaines de grossesse, les médecins décideront des actions ou des médicaments à utiliser. De nombreux bébés prématurés ont seulement besoin d’être dans la couveuse pour développer leurs organes ; à part ça, ils n’auront pas plus de complications sur le long terme.
6. Éviter d’être pessimiste
Pendant la grossesse, les changements hormonaux peuvent jouer sur les émotions ; les femmes enceintes sont confrontées à de grands changements d’humeur comme la colère, la tristesse et la joie. D’après la American Pregnancy Association, réaliser certains changements dans la routine quotidienne peut aider à faire face aux émotions de la grossesse, comme partager des moments avec ses proches et se sentir entourée, prendre soin de soi, se reposer suffisamment et avoir une alimentation saine.
7. Savoir faire face à l’adversité
La probabilité de souffrir de complications lors de l’accouchement, aussi faible soit-elle, est toujours présente : face à une telle situation, la future maman doit rester calme et avoir du self-control. Si un problème intervient durant l’accouchement et que la patiente n’arrive pas à gérer ses émotions, le travail des médecins sera plus compliqué, allant jusqu’à aggraver la situation.
8. Conserver la meilleure condition physique
Tant que la grossesse n’est pas à risque, l’activité physique est bénéfique pour la future maman. En plus d’aider à contrôler le poids et la pression sanguine, elle facilite la récupération post-partum, améliore le moral et aide à renforcer le corps, contribuant à sa préparation pour l’accouchement. Si des doutes subsistent, il est recommandé de consulter son médecin.
9. Développer l’optimisme tout au long de la grossesse
L’ocytocine est l’hormone qui est sécrétée durant les moments positifs de notre vie, elle est également appelée “l’hormone de l’amour” parce qu’elle est liée à différentes situations que nous pouvons rencontrer au cours de nos relations. Pendant l’accouchement, elle est libérée en grandes quantités, ce qui favorise la connexion mère-enfant et atténue en partie la douleur. Avoir une grossesse calme et heureuse permet à cette hormone d’être présente dans différentes étapes de la gestation, ce qui est très bon pour la future maman comme pour le bébé.
10. Clarifier tous les doutes sur la péridurale
Bien que certaines femmes préfèrent accoucher à la maison, de la manière la plus naturelle possible, d’autres se préoccupent de la douleur physique liée à l’accouchement. Si la souffrance est la plus grande des craintes, il est nécessaire de se renseigner sur l’anesthésie péridurale ; demander au médecin les contre-indications pour la mère ou le bébé et connaître jusqu’à quand il est possible d’y avoir recours.
As-tu d’autres conseils afin d’éviter la crainte de l’accouchement ?
Nous attendons ta réponse dans les commentaires.
Commentaires
Bon quand tu en es à ton deuxième, c'est moins stressant
Il vaut mieux prendre toutes les précautions possibles, mais elles diminueront pas le stress et l'inquiétude pour autant.
De toute façon on ne peut pas savoir comment ça va se passer, autant d'arrêter de stresser inutilement !