17 Personnes qui en ont eu marre et ont décidé de démissionner

Gens
Il y a 1 mois

Lorsqu’un travail n’apporte aucune satisfaction morale ou matérielle, personne n’y restera de nombreuses années. Tôt ou tard, même l’employé le plus calme finira par perdre patience. Des internautes nous ont raconté le moment où ils ont décidé de dire adieu à un emploi qui ne leur convenait plus.

  • Je travaillais comme nounou. Un jour, la mère des enfants a fait ses valises et est partie au bord de la mer. Aux tâches déjà convenues se sont ajoutées la cuisine, les devoirs et bien d’autres choses. Pour ce travail supplémentaire, on m’a promis un salaire supplémentaire. Mais non. À son retour de vacances, cette gentille femme m’a dit qu’elle payait assez et qu’elle n’avait plus d’argent après les vacances.
    J’ai démissionné. Une semaine plus tard, elle m’a appelée, se plaignant que la nouvelle nounou ne faisait rien, et m’a demandé de revenir. J’ai particulièrement apprécié qu’elle dise que l’argent n’est pas un problème si c’est la seule chose qui me dérange.
  • Quand je vais au travail, il fait encore nuit, quand j’en reviens, il fait déjà nuit. Dans l’après-midi, je suis sortie pour prendre l’air, et deux écureuils sautaient sur un arbre à proximité. J’étais tellement heureuse de les voir que j’ai commencé à prendre des photos et à sourire. J’ai pensé à la vie qui passe : métro-boulot-dodo... Et j’ai écrit une lettre de démission. J’en ai assez. Je veux être libre. Je trouverai un autre travail. C’est ainsi que deux écureuils m’ont motivé pour une nouvelle vie.
  • Je déteste quand on me demande de donner de l’argent pour l’anniversaire d’un collègue. J’ai tout de suite précisé que je ne donnerais d’argent à personne, car j’ai une hypothèque, un enfant et un chat. J’ai également demandé de ne pas m’offrir de cadeau non plus. Mais à chaque anniversaire, je devais le re-expliquer. Le point culminant a été la situation où l’on m’a attaqué parce que je ne pouvais pas donner 10 dollars pour l’anniversaire de mon patron. Oui, je ne peux pas ! J’ai écrit une lettre de démission, sans en cacher la raison. Le patron m’a compris et m’a transférée à un travail à distance.
  • J’ai écrit une lettre indiquant que j’avais besoin de congés pour certains week-ends cinq mois en avance. Mais lorsque le moment est venu, je me suis retrouvée sur le planning du restaurant. J’ai appelé le patron pour dire : «Je ne pourrai pas être là, j’ai une famille qui vient de l’autre côté du pays. Je vous ai prévenu il y a cinq mois !» Le directeur m’a répondu : «Oui, votre lettre est là. Mais ce n’est qu’une lettre. C’est donc une simple demande.» Furieuse, j’ai répondu : «Je vois» et j’ai raccroché. Le jour de mon service est arrivé. 15 minutes avant son début, j’ai envoyé un message disant merci de m’avoir laissé remplacer d’autres personnes pendant trois ans, mais je ne reviendrai plus jamais. © tintedrosie / Reddit
  • J’étais livreur dans une pizzeria. J’étudiais pendant la journée et je courais au travail à 19 heures. Le premier désaccord est survenu lorsque mes patrons ont exigé que je vienne plus tôt et que j’attende les commandes. Bien sûr, sans supplément de salaire. Mais la goutte d’eau qui a fait déborder le vase a été le fait que j’étais utilisé sans mon consentement comme appât pour des malfaiteurs. Des types commandaient des pizzas sous de faux noms, puis attaquaient les livreurs et leur prenaient des boîtes. Et moi, j’étais le livreur. Pourtant, la police me surveillait déjà à ce moment-là, mais personne n’a pris la peine de m’avertir d’une telle aventure. Les gars m’ont attaqué, ils ont été immédiatement arrêtés, et on m’a demandé d’aller au poste pour témoigner. Je suis désolé, mais c’est du temps supplémentaire. Je ne suis revenu à la pizzeria que pour toucher mon salaire. © Yapadmal / Reddit
  • Au travail, on nous a dit que nous avions deux nouvelles règles. Premièrement, tout le monde doit arriver 15 minutes avant le début de la journée de travail (et personne ne paiera les heures supplémentaires). Deuxièmement, on ne peut aller déjeuner que dans certaines circonstances. J’ai dit qu’il serait d’abord bon de savoir dans quelle mesure ces innovations sont légales. On m’a répondu : «Soit vous faites ce qu’on vous dit, soit vous partez». J’ai répondu : «Eh bien, au revoir !» On m’a persuadé de réfléchir à ma décision, de ne pas agir sous le coup de l’émotion. Mais je n’écoutais plus personne en claquant la porte. © s8n29 / Reddit
  • Mes patrons ont décidé de licencier mon collègue âgé et handicapé. Depuis quelque temps, on lui confiait délibérément des tâches qu’il ne pouvait pas assumer. J’ai démissionné en même temps que lui. Et je suis très fier de ma décision. Et l’entreprise a fait faillite six mois plus tard. © holyf**kladyflash / Reddit
  • J’étais sous-chef dans un restaurant. Tous les matins, en arrivant au travail, je voyais que la cuisine n’était pas nettoyée, que la vaisselle n’était pas lavée, que la nourriture n’était pas rangée, etc. Un jour, j’ai demandé au chef pourquoi c’était un tel désordre et il m’a répondu : «Il y avait trop de travail avant la fermeture, l’équipe n’a pas eu le temps de ranger». Et je l’ai cru bêtement.
    Mais un jour, on m’a demandé de prendre le poste du chef, qui avait pris un congé pour des raisons familiales. J’ai donné diverses tâches à ses subordonnés, ce qui leur a causé un grand mécontentement. Et l’un des cuisiniers m’a dit : «Le chef m’a dit que je n’avais pas à faire ça !» Même le plongeur ne touchait pas aux assiettes.
    Après mon service, je préparais déjà une conversation sérieuse avec le chef. Puis j’ai réfléchi et je l’ai laissé tomber. Le lendemain, j’ai dit au directeur général que je démissionnais parce que j’en avais assez de l’irresponsabilité des autres et de leur attitude irrespectueuse. © ForeverIdiosyncratic / Reddit
  • Cela faisait longtemps que je pensais à démissionner. Vendredi dernier, mon patron est venu me voir et m’a demandé de travailler samedi sans me payer un supplément. Il m’a dit qu’il s’agissait d’une situation très critique. Je n’ai pas pu refuser. Je me suis rendu au bureau samedi. Tout allait bien jusqu’au moment où mon patron m’a engueulé parce que j’étais venu en jeans ! Un jour de congé. Alors qu’il n’y a pas une seule réunion et que je n’ai qu’un rapport à faire. C’était la goutte d’eau qui a fait déborder le vase. Vous ne pouvez pas savoir à quel point j’étais soulagée d’écrire ma lettre de démission.
  • J’ai trouvé un emploi. Dès la première semaine, j’ai commencé à être retardée d’une heure ou deux. En fait, j’avais mes propres projets pour mon temps libre. J’ai demandé si les heures supplémentaires étaient rémunérées et je me suis rendu compte que ce n’était pas le cas. Ainsi, alors qu’un jour j’étais retardée d’une heure, le lendemain, j’ai décidé de partir une heure plus tôt. Le patron m’a regardé avec des yeux ronds et m’a demandé de démissionner. J’ai accepté avec joie et, lorsque je suis parti, les autres m’ont regardé comme si j’étais Prométhée, qui donnait du feu aux gens.
  • J’ai travaillé dans un restaurant où il y avait beaucoup de décors différents. Il y avait un ukulélé (guitare hawaïenne) accroché au mur du vestiaire. Un jour, je l’ai regardé et j’ai vu une caméra cachée à l’intérieur et un câble dans le mur. J’ai dit aux propriétaires que c’était illégal, ce qui les a fait rire, puis ils ont prononcé une phrase géniale : «Ne le dites à personne». Et j’en ai parlé à tout le personnel, car il y avait des filles dans l’équipe. Et j’ai quitté cet endroit.
  • J’ai travaillé dans un fast-food pendant deux ans. Mais j’ai trouvé un nouvel emploi et j’ai donné à mes patrons un préavis de deux semaines avant de partir. Le premier jour, on m’a demandé de nettoyer les toilettes, ce que j’ai fait. Le deuxième jour, on m’a demandé de nettoyer les plateaux — je l’ai fait. Et le troisième jour, on m’a demandé de nettoyer les tuyaux sous les éviers, et pendant que je le faisais, j’ai entendu ma chef dire à ma collègue qu’elle allait me torturer pendant deux semaines. Je me suis levée et je suis partie. © TinyGreenTurtles / Reddit
  • Il y a quelques années, je travaillais comme serveuse. Un jour, une collègue a voulu changer de section avec moi (je servais une partie plus fréquentée du hall et elle avait besoin d’argent de toute urgence). J’ai accepté, j’ai prévenu le directeur, mais il n’a consigné notre échange nulle part. Le lendemain, un autre directeur m’a reproché de ne pas avoir nettoyé ma section. Mais ce n’est pas moi qui aurais dû le faire ! J’ai dit que ma collègue et moi avions échangé et elle a eu le culot de le nier. J’ai renversé le plateau qu’elle tenait et j’ai claqué la porte. © terrabranford / Reddit
  • J’ai travaillé comme vendeuse dans une pâtisserie. Tous les produits devaient être posés en montagne sur le comptoir ouvert pour «attirer» le client. Le fait que les desserts s’abîment beaucoup plus vite, parce que la poussière, la saleté, les mouches se posent dessus, ou qu’ils soient mal entreposés, tout cela n’avait pas d’importance, l’essentiel étant d’avoir une belle vitrine. Souvent, on était obligé de vendre des desserts desséchés, des gâteaux en pierre, des guimauves abîmées par le temps. Lorsque j’ai vu qu’ils changeaient la date de production sur les gâteaux, j’ai pensé que rien d’autre ne me surprendrait. Mais la chef a battu ce record : elle a vendu aux enfants de la confiture avec des vers. Quand les parents sont venus se plaindre, elle leur a dit : «Oh, ça arrive». J’ai démissionné.
  • J’ai toujours travaillé dur, j’ai accompli mes tâches de manière responsable, j’ai fait des heures supplémentaires, je n’ai pas pris de congé de maladie. Et je n’ai jamais reçu un seul mot de remerciement de la part de mes supérieurs. Et puis je me suis retrouvée à l’hôpital : un calcul commençait à sortir du rein. J’ai crié de douleur. J’ai écrit à ma patronne pour lui expliquer. Et elle m’a dit : «Je sais bien que vous êtes en congé de maladie et que je ne peux rien exiger... Mais vous auriez pu finir le travail ! Je ne veux pas que cela se reproduise !» Et ça ne s’est pas reproduit : j’ai démissionné. C’est tellement dégoûtant et offensant...
  • Au début de ma carrière, j’étais administrateur système dans une entreprise et je faisais la même chose pour les clients de cette entreprise. Lorsque je travaillais avec un client, il y avait un pourcentage fixe du montant du projet. Une petite augmentation de salaire : qui ne serait pas content ? Et puis un ami du directeur a eu besoin d’urgence de remonter la quasi-totalité de l’infrastructure, j’ai été impliqué.... Le montant du projet était assez élevé, je travaillais les week-ends, jusqu’à la nuit. Mais lorsque le jour du salaire est arrivé, il s’est avéré que «l’entreprise ne considère pas qu’il soit juste de vous payer autant». Dix minutes plus tard, ma lettre de démission était sur le bureau du directeur.
  • Je travaillais en tant que serveuse dans un karaoké avec une grande affluence de clients. Un jour, je suis rentrée à la maison fatiguée et j’avais trop faim. Je n’avais pas mangé depuis un jour et demi. J’ai rapidement réchauffé un repas, remplis mon assiette et mis la table : fourchette, couteau, verre d’eau, panier avec du pain. Et puis je me suis mise près de la porte à attendre une «visite». Une femme m’a regardée tristement et m’a dit : «Mademoiselle, reposez-vous... Je vous apporterai l’addition moi-même.» Le lendemain, j’ai démissionné.

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