Tu peux grandir de 2,5 cm en seulement 5 minutes !

Conseils
Il y a 1 an

Si tu penses être au maximum de ta taille en ce moment, voici une bonne nouvelle pour toi : tu peux grandir de 2,5 cm en seulement 5 minutes ! Tout d’abord, trouve une barre de traction ou simplement un endroit où te suspendre, et règle un minuteur sur 45 secondes. Maintenant, accroche-toi à la barre et détends tous tes muscles, en te concentrant uniquement sur la suspension. Quand tu as terminé cette partie, allonge-toi sur le sol, écarte les bras sur les côtés, les paumes vers le ciel, et étire tes jambes sur le sol. Maintenant, plie ta jambe gauche, remonte-la et croise-la par-dessus la droite, en la laissant retomber sur le sol. Détends-toi à nouveau autant que tu le peux — cela permettra à l’extérieur de ta hanche et à ta colonne vertébrale de s’étendre un peu plus. Allonge-toi comme ça pendant 30 secondes, puis change de jambe et attends encore 30 secondes.

Maintenant, remonte lentement vers la position assise et adopte la position du lotus avec les plantes de pieds qui se touchent. Puis, penche-toi au niveau de la taille, en sentant l’étirement au niveau des hanches et du bas du dos. Ne force pas trop et arrête de te pencher dès que c’est douloureux, c’est important. Respire lentement et paisiblement, et reste assis comme ça pendant 30 à 45 secondes. Ensuite, tiens-toi droit contre un mur et lève tes bras sans trop les étirer. Touche le mur avec tes doigts et fais un pas en avant, en gardant toujours le bout de tes doigts sur le mur. Arrête-toi dès que tu sens que tu ne peux pas aller plus loin sans décoller tes doigts du mur. Maintenant, pousse vers le haut avec tes pieds — cela t’étirera agréablement. Reste debout comme ça pendant encore 30 secondes.

Une fois que tu as terminé, recule, baisse lentement tes bras et, tout en poussant ton dos contre le mur, baisse la tête et appuie ta langue contre ton palais, assez fort. Encore une fois, ne va pas au-delà de ta limite, tu dois te sentir à l’aise en faisant tout cela. Avec ta tête baissée, le haut de ton dos et l’arrière de ta tête touchant le mur, et ta langue pressée vers le haut, tu actives différents muscles à l’arrière de ton cou, et tu devrais le sentir maintenant. Reste dans cette position pendant encore 30 secondes. Enfin, retourne à la barre. Tu vas répéter la même routine qu’au début, mais maintenant tu dois te suspendre à la barre pendant une minute entière, en détendant tout ton corps. Si tu ressens une gêne dans tes bras, laisse-toi tomber plus tôt, sinon cela te fera plus de mal que de bien.

Si tu as tout fait, tu peux maintenant aller vérifier ta taille — tu devrais être agréablement surpris par le résultat !
Maintenant, que dirais-tu d’un truc de piscine grâce auquel tu pourrais prouver que tu peux retenir ta respiration plus longtemps que tous tes amis ? Même si tu n’es pas un grand nageur, tu peux faire croire à ton corps qu’il peut faire mieux que d’habitude. Cette astuce s’appelle l’hyperventilation, et les plongeurs l’utilisent tout le temps. Avant de plonger, prends plusieurs respirations rapides et courtes. Tu feras croire à ton cerveau qu’il dispose d’une plus grande réserve d’oxygène, et quand tu prendras enfin cette dernière grande inspiration, tu auras plus de temps avant de devoir refaire surface pour respirer. La quantité de temps supplémentaire dépend entièrement de ton corps et de ton mode de vie, mais elle peut aller de quelques secondes à quelques dizaines de secondes !

Tout comme ta main gauche et ta main droite te semblent plus adaptées pour effectuer différentes tâches, ton oreille gauche et ta droite ont des affinités différentes avec les sons. Si tu as du mal à entendre quelqu’un qui t’adresse la parole dans un environnement bruyant, tourne ton oreille droite plus près de lui. Et si tu veux distinguer une mélodie quelque part au loin, tourne plutôt ton oreille gauche vers elle.
Si tu travailles de chez toi ou dans un bureau et que tu fixes l’écran de l’ordinateur pendant des heures, tu as dû remarquer que ta vue semble se détériorer à la fin de la journée. C’est ce qu’on appelle le stress du point proche : les muscles de tes yeux se fatiguent à force de les concentrer sur un seul point juste devant toi.

Tu te sentiras beaucoup mieux si tu fermes les yeux de temps en temps — idéalement, toutes les heures environ, — prends une profonde inspiration et détends tes épaules, tes bras, le bas de ton dos et tes jambes. Non seulement tu seras soulagé de la pression d’avoir à rester assis devant l’ordinateur, mais cela détendra aussi les muscles de tes yeux. Tout peut sembler bizarre, mais tu ne peux pas contrôler directement tes globes oculaires comme la plupart des autres parties du corps, alors le fait de te concentrer sur le reste de ton corps permettra à tes yeux d’avoir un peu de répit et de récupérer du stress.
Si tu as déjà nettoyé l’intérieur de tes oreilles avec un coton-tige (même s’il ne faut pas le faire, c’est même indiqué sur l’emballage), tu as probablement ressenti l’envie de tousser en le faisant. C’est parce que les nerfs de tes oreilles et de ta gorge sont reliés. Mais étonnamment, cette connexion peut aussi t’aider.

S’il t’arrive d’avoir cette démangeaison ennuyeuse à l’intérieur de la gorge que tu n’arrives pas à gratter malgré tes efforts répétés, gratte et tire sur ton oreille à la place. Cela irritera les nerfs connectés et provoquera un spasme des muscles de ta gorge, ce qui soulagera cette démangeaison.
Tout le monde a fait l’expérience du gel du cerveau au cours de sa vie — cette horrible sensation lorsque tu manges trop de glace trop vite ou que tu boives quelque chose d’extrêmement froid sans réfléchir. Cela se produit lorsque les aliments froids touchent ton palais près de la gorge, où les terminaisons nerveuses sont plus proches de la surface.

Pour faire cesser rapidement cette sensation d’engourdissement où ta tête semble sur le point d’exploser, la meilleure solution est de réchauffer ton palais avec ta langue. Recourbe-la et appuie-la contre ton palais, en essayant d’aller le plus loin possible en arrière. Lorsque ton palais se réchauffera, tu seras soulagé.
Beaucoup de gens tombent dans ce piège du lit tard le soir, quand ils s’allongent dans leur lit avec leur téléphone à la main et qu’ils n’arrivent pas à s’endormir. Le conditionnement peut t’aider à gérer cela, mais attention : cela prend du temps. Tout d’abord, le lit est fait pour dormir, sans exception. Le matin, au lieu d’appuyer sur le bouton “snooze”, quelle que soit la tentation, lève-toi et sors du lit aussi vite que possible. Une fois que tu te seras lavé le visage, ton cerveau commencera à se préparer pour la journée à venir, et tu ne voudras plus y retourner.

Avant de te coucher le soir, essaie de limiter l’utilisation de ton téléphone et de ton ordinateur au strict minimum. Idéalement, tu ne devrais regarder aucun écran au moins une heure avant de te coucher, car la lumière bleue qu’ils émettent empêche ton corps de générer de la mélatonine, l’hormone du sommeil. Si tu ne peux pas t’offrir un tel luxe, active au moins le mode économie d’énergie pour les yeux. Il diminuera l’émission de lumière bleue, permettant à tes yeux de se reposer et à ton cerveau d’être moins stressé. Et pas de téléphone au lit — le lit est uniquement fait pour dormir, n’est-ce pas ? Lorsque tu t’allonges pour la nuit, éteins tous tes appareils une bonne fois pour toutes.

La mélatonine est produite de façon optimale lorsqu’il fait complètement noir autour, alors bloque toute la lumière que tu peux dans ta chambre. Ce point rouge ennuyeux de ton téléviseur en veille ? Débranche-le. Les lumières vertes clignotantes de ton routeur Wi-Fi ? Couvre-les avec quelque chose ou, encore une fois, débranche-le pour la nuit. Achète-toi des rideaux épais s’il le faut, cela te fera du bien à long terme. Enfin, la force de l’habitude est puissante. Essaie de respecter le même horaire tous les jours, même le week-end. Si tu te réveilles et te couches à la même heure tous les jours, ton corps commencera à produire de la mélatonine tout seul quand il sera temps de se coucher.

Si tu ne sais pas nager et que tu as peur de te noyer, tu n’as pas besoin d’une formation officielle. Au lieu de te forcer à rester au bord, détends-toi, prends une grande inspiration et allonge-toi sur le dos en retenant l’air à l’intérieur de tes poumons. Ces derniers agiront comme des bouées et te maintiendront à flot aussi longtemps que tu pourras les garder remplis d’air. Une fois que tu auras expiré, tu vas probablement couler, alors laisse l’air s’échapper d’un coup sec et inspire à nouveau, profondément. Cette méthode te permettra de rester à flot aussi longtemps que tu le souhaites. Tu peux même apprendre à nager en faisant cela ! Au début, essaie de pagayer avec tes bras en te couchant sur le dos et en retenant ta respiration. Lorsque tu te sens plus confiant, retourne-toi sur le ventre et, en gardant la tête hors de l’eau, propulse-toi vers l’avant avec tes mains d’abord, puis avec tes pieds. Tes poumons remplis d’air te feront toujours flotter près de la surface, ce ne sera donc pas un gros problème si tu le fais bien.

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