Carole Bouquet explique pourquoi ça l’énerve quand on lui dit qu’elle fait plus jeune
Carole Bouquet, l’actrice emblématique, partage en toute sincérité qu’elle n’aime pas du tout les commentaires sur sa jeunesse. Découvre comment cette artiste d’exception explique sa réaction peu commune ainsi que sa vision de l’âge et du fil du temps.
“Quand on me dit que je fais plus jeune, ça m’énerve”
Carole Bouquet a exprimé son point de vue sur le processus de vieillissement en déclarant qu’elle aurait préféré rester éternellement à l’âge de 50 ans, mais qu’elle avait accepté la réalité de ses 66 ans, car il n’y avait pas d’autre option. Elle envisage même de célébrer ses 70 ans de manière mémorable, peut-être même en faisant la une des journaux, si l’occasion se présente.
L’actrice a également évoqué le fait que certaines personnes la perçoivent comme paraissant plus jeune, ce qui peut la contrarier, car elle revendique son droit à la fatigue, en particulier sur les plateaux de tournage, où il arrive parfois que son âge réel soit oublié. " Quand on me dit que je fais plus jeune, ça m’énerve. "
La comédienne tient à jouer des rôles qui correspondent à son âge et refuse de se ridiculiser en essayant de retrouver une jeunesse révolue.
“Je me sens plus fragile”
Carole Bouquet a partagé une réflexion sur son évolution avec l’âge : " S’endurcir ? Certainement pas... Lorsque j’étais jeune, ma sensibilité était protégée par une solide armure. Mais avec le temps, cette cuirasse s’est affinée, devenant presque aussi délicate que de la dentelle. Je me sens plus fragile, peut-être parce que l’insouciance tend à s’envoler avec la jeunesse. "
Prendre de l’âge, c’est plus de liberté
L’actrice explique : " Je consacre du temps à la peinture, à la sculpture, à la marche, ainsi qu’à mes petits-enfants, avec lesquels je passe un mois par an en Italie... J’aimerais pouvoir les voir plus souvent, mais ma vie est moins structurée qu’à l’époque où mes enfants étaient jeunes. Prendre de l’âge, c’est aussi cela : moins de responsabilités “extérieures” et davantage de liberté pour se consacrer parfois à soi-même. "
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